Lettre n° 1496
Par la grâce de D.ieu,
7 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité d’écrire à votre fils. Vous lui direz que, s’il revient à chaque Juif, en chaque époque, de mettre les Tefilin, combien plus en est-il ainsi pour ceux qui se trouvent dans l’armée. Car, le fait de les porter les protège et leur permet de rentrer à la maison, le moment venu, en bonne santé.
C’est ce que nous a dit mon beau-père, le Rabbi, lors de la précédente guerre mondiale et nous l’avons constaté de nos yeux, de manière incontestable. Tous les Juifs qui ont scrupuleusement respecté la Mitsva des Tefilin pendant qu’ils se trouvaient à l’armée sont rentrés chez eux sains et saufs.
Il peut arriver, durant les manoeuvres ou les exercices, qu’il ne soit pas possible de mettre les Tefilin dès le matin. Il faut donc savoir qu’on peut le faire toute la journée, jusqu’au coucher du soleil. On peut, au moins, les mettre, lire le Chema Israël et les ôter, s’il n’est pas envisageable de les porter plus longtemps et de dire également les autres prières. Et, même en étant dans l’armée, il est toujours faisable de trouver ces quelques minutes, y compris durant les manoeuvres et les exercices, par exemple.
Je suis certain que vous trouverez les mots pour expliquer ce qui vient d’être dit à votre fils. Et, D.ieu permettra qu’il rentre en bonne santé à la maison, le moment venu.
Je conclus en vous souhaitant une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour tous les membres de votre famille. Vous transmettrez mes salutations à votre frère, qui était ici, il y a quelques temps. Nous avons alors eu, ensemble, une longue discussion.
N. B. : Vous trouverez, ci-joint, un message de Pessa’h, qui, je l’espère, vous intéressera.
7 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité d’écrire à votre fils. Vous lui direz que, s’il revient à chaque Juif, en chaque époque, de mettre les Tefilin, combien plus en est-il ainsi pour ceux qui se trouvent dans l’armée. Car, le fait de les porter les protège et leur permet de rentrer à la maison, le moment venu, en bonne santé.
C’est ce que nous a dit mon beau-père, le Rabbi, lors de la précédente guerre mondiale et nous l’avons constaté de nos yeux, de manière incontestable. Tous les Juifs qui ont scrupuleusement respecté la Mitsva des Tefilin pendant qu’ils se trouvaient à l’armée sont rentrés chez eux sains et saufs.
Il peut arriver, durant les manoeuvres ou les exercices, qu’il ne soit pas possible de mettre les Tefilin dès le matin. Il faut donc savoir qu’on peut le faire toute la journée, jusqu’au coucher du soleil. On peut, au moins, les mettre, lire le Chema Israël et les ôter, s’il n’est pas envisageable de les porter plus longtemps et de dire également les autres prières. Et, même en étant dans l’armée, il est toujours faisable de trouver ces quelques minutes, y compris durant les manoeuvres et les exercices, par exemple.
Je suis certain que vous trouverez les mots pour expliquer ce qui vient d’être dit à votre fils. Et, D.ieu permettra qu’il rentre en bonne santé à la maison, le moment venu.
Je conclus en vous souhaitant une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour tous les membres de votre famille. Vous transmettrez mes salutations à votre frère, qui était ici, il y a quelques temps. Nous avons alors eu, ensemble, une longue discussion.
N. B. : Vous trouverez, ci-joint, un message de Pessa’h, qui, je l’espère, vous intéressera.