Lettre n° 1501
Par la grâce de D.ieu,
9 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de Pessa’h, qui approche, je vous souhaite de célébrer la fête de manière cachère et joyeuse.
La Mitsva essentielle de cette fête, instaurée par la Torah, encore à l’heure actuelle, est la consommation de la Matsa. En effet, le Pessa’h proprement dit est un sacrifice et les herbes amères, pour la plupart des Décisionnaires, ne sont actuellement qu’une obligation instituée par les Sages.
La Matsa est appelé "aliment de la foi". La ‘Hassidout explique qu’on raffermit sa foi en la mangeant, quand il est une Mitsva de le faire, c’est-à-dire à Pessa’h et, plus particulièrement, au premier soir de cette fête. La foi consiste à croire et la raffermir revient à faire qu’elle ne soit pas purement intellectuelle, théorique, mais qu’elle pénètre l’homme, dans son existence quotidienne, dans ses pensées, ses paroles et ses actions.
Bien plus, la foi confère la certitude, comme ce que l’on voit de ses yeux de chair, même si c’est seulement dans le monde futur que se réaliseront les termes de la promesse selon laquelle "toute chair ensemble verra que la bouche de D.ieu a parlé".
Néanmoins, la préparation et l’avant goût de cela sont d’ores et déjà accessibles. Et, la fête de Pessa’h est particulièrement propice, en la matière. Au sens le plus littéral, il faut donc conformer ses pensées, ses paroles et ses actions à la Torah et aux Mitsvot, comme les explique le luminaire de la Torah, qui est la ‘Hassidout, sans attendre que D.ieu nous accorde le mérite d’une compréhension exhaustive.
9 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de Pessa’h, qui approche, je vous souhaite de célébrer la fête de manière cachère et joyeuse.
La Mitsva essentielle de cette fête, instaurée par la Torah, encore à l’heure actuelle, est la consommation de la Matsa. En effet, le Pessa’h proprement dit est un sacrifice et les herbes amères, pour la plupart des Décisionnaires, ne sont actuellement qu’une obligation instituée par les Sages.
La Matsa est appelé "aliment de la foi". La ‘Hassidout explique qu’on raffermit sa foi en la mangeant, quand il est une Mitsva de le faire, c’est-à-dire à Pessa’h et, plus particulièrement, au premier soir de cette fête. La foi consiste à croire et la raffermir revient à faire qu’elle ne soit pas purement intellectuelle, théorique, mais qu’elle pénètre l’homme, dans son existence quotidienne, dans ses pensées, ses paroles et ses actions.
Bien plus, la foi confère la certitude, comme ce que l’on voit de ses yeux de chair, même si c’est seulement dans le monde futur que se réaliseront les termes de la promesse selon laquelle "toute chair ensemble verra que la bouche de D.ieu a parlé".
Néanmoins, la préparation et l’avant goût de cela sont d’ores et déjà accessibles. Et, la fête de Pessa’h est particulièrement propice, en la matière. Au sens le plus littéral, il faut donc conformer ses pensées, ses paroles et ses actions à la Torah et aux Mitsvot, comme les explique le luminaire de la Torah, qui est la ‘Hassidout, sans attendre que D.ieu nous accorde le mérite d’une compréhension exhaustive.