Lettre n° 1512
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du lundi de la Parchat Tsav. J’y ai lu, avec plaisir, que vous êtes déjà installé, que vous avez la possibilité de maintenir votre étude de la Torah et votre lecture des Tehilim.
Par ailleurs, vous vous étiez engagé, pour différentes raisons, là où vous vous trouviez, à des études sur le livre des Tehilim. Vous m’interrogez et vous me demandez si vous devez les maintenir, vous trouvant en Terre Sainte, ce qui ne vous laissera pas suffisamment de temps pour apprendre la Guemara comme vous le souhaitez.
Vous dites des Tehilim de cette façon depuis longtemps. Même s’il vous semble que la raison en soit dépassée, il est nécessaire, à mon avis de continuer à lire ces Tehilim, comme vous l’avez fait jusqu'à maintenant. Car, nul ne peut savoir ce qui est le plus précieux pour D.ieu, d’autant que vous observez cette pratique positive depuis bien longtemps.
Vous avez sûrement lu, dans nos saints livres et surtout dans les ouvrages de ‘Hassidout, des récits montrant l’importance de lire les Tehilim.
A l’occasion de Pessa’h, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse ma bénédiction, ainsi qu’aux membres de votre famille, pour que vous ayez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Conformément à la promesse dont nous attendons la réalisation, "comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles", D.ieu nous conduira très prochainement vers la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h.
Avec ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
13 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du lundi de la Parchat Tsav. J’y ai lu, avec plaisir, que vous êtes déjà installé, que vous avez la possibilité de maintenir votre étude de la Torah et votre lecture des Tehilim.
Par ailleurs, vous vous étiez engagé, pour différentes raisons, là où vous vous trouviez, à des études sur le livre des Tehilim. Vous m’interrogez et vous me demandez si vous devez les maintenir, vous trouvant en Terre Sainte, ce qui ne vous laissera pas suffisamment de temps pour apprendre la Guemara comme vous le souhaitez.
Vous dites des Tehilim de cette façon depuis longtemps. Même s’il vous semble que la raison en soit dépassée, il est nécessaire, à mon avis de continuer à lire ces Tehilim, comme vous l’avez fait jusqu'à maintenant. Car, nul ne peut savoir ce qui est le plus précieux pour D.ieu, d’autant que vous observez cette pratique positive depuis bien longtemps.
Vous avez sûrement lu, dans nos saints livres et surtout dans les ouvrages de ‘Hassidout, des récits montrant l’importance de lire les Tehilim.
A l’occasion de Pessa’h, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse ma bénédiction, ainsi qu’aux membres de votre famille, pour que vous ayez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Conformément à la promesse dont nous attendons la réalisation, "comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles", D.ieu nous conduira très prochainement vers la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h.
Avec ma bénédiction, à l’occasion de la fête,