Lettre n° 1513
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5712,
Brooklyn,
Aux fidèles de la synagogue de rite Ari Zal
d’Albany Park, à Chicago,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaire, Rav Avraham Honsburg, m’a transmis votre chèque, pour la caisse de Maot ‘Hitin(1) que je gère. Je l’ai reçu avec satisfaction et j’adresse ma bénédiction à tous les donateurs. Que D.ieu vous le rende en le multipliant. Par le mérite de votre participation pour que "celui qui a faim vienne et mange"(2), D.ieu vous aidera, avec les membres de votre famille et vous aurez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Pessa’h est mentionné tout au long de l’année puisque nous rappelons, dans différentes prières, le "souvenir de la sortie d’Egypte". Et, la Tsédaka, même si elle est spécifiquement liée à Pessa’h, comme c’est le cas pour les Maot ‘Hitin, doit également être présente toute l’année. Au sens le plus simple, il faut en donner constamment et non uniquement à Pessa’h. Cela va sans dire.
Mais, point qui est encore plus important, la Tsédaka n’est pas uniquement un don d’argent. On peut aussi en offrir à un Juif, qu’il soit un homme ou une femme, en lui consacrant de son temps et en persuadant les autres d’en faire de même.
Un autre point caractérise la Tsédaka. S’il est nécessaire d’avoir pitié du corps juif, combien plus en est-il ainsi pour l’âme juive. Lorsque celle-ci est dépourvue de Mitsvot, affamée de Torah, il faut lui venir en aide. Et nos Sages, au chapitre 27 du Tana Dveï Elyahou, commentent le verset: "si tu vois un homme nu, tu le couvriras", de la manière suivante: "Comment procéder? Si tu vois un homme qui ne possède pas de paroles de la Torah, tu les lui enseigneras et tu l’engageras à pratiquer les Mitsvot".
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour tous les fidèles de votre synagogue,
Notes
(1) Tsédaka spécifiquement destinée à satisfaire les besoins de Pessa’h.
(2) Selon la formule de la Haggada.
13 Nissan 5712,
Brooklyn,
Aux fidèles de la synagogue de rite Ari Zal
d’Albany Park, à Chicago,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Le distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaire, Rav Avraham Honsburg, m’a transmis votre chèque, pour la caisse de Maot ‘Hitin(1) que je gère. Je l’ai reçu avec satisfaction et j’adresse ma bénédiction à tous les donateurs. Que D.ieu vous le rende en le multipliant. Par le mérite de votre participation pour que "celui qui a faim vienne et mange"(2), D.ieu vous aidera, avec les membres de votre famille et vous aurez une fête de Pessa’h cachère et joyeuse.
Pessa’h est mentionné tout au long de l’année puisque nous rappelons, dans différentes prières, le "souvenir de la sortie d’Egypte". Et, la Tsédaka, même si elle est spécifiquement liée à Pessa’h, comme c’est le cas pour les Maot ‘Hitin, doit également être présente toute l’année. Au sens le plus simple, il faut en donner constamment et non uniquement à Pessa’h. Cela va sans dire.
Mais, point qui est encore plus important, la Tsédaka n’est pas uniquement un don d’argent. On peut aussi en offrir à un Juif, qu’il soit un homme ou une femme, en lui consacrant de son temps et en persuadant les autres d’en faire de même.
Un autre point caractérise la Tsédaka. S’il est nécessaire d’avoir pitié du corps juif, combien plus en est-il ainsi pour l’âme juive. Lorsque celle-ci est dépourvue de Mitsvot, affamée de Torah, il faut lui venir en aide. Et nos Sages, au chapitre 27 du Tana Dveï Elyahou, commentent le verset: "si tu vois un homme nu, tu le couvriras", de la manière suivante: "Comment procéder? Si tu vois un homme qui ne possède pas de paroles de la Torah, tu les lui enseigneras et tu l’engageras à pratiquer les Mitsvot".
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour tous les fidèles de votre synagogue,
Notes
(1) Tsédaka spécifiquement destinée à satisfaire les besoins de Pessa’h.
(2) Selon la formule de la Haggada.