Lettre n° 1522
Par la grâce de D.ieu,
27 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Puisse D.ieu faire que la grossesse de votre épouse se passe bien, qu’elle enfante en son temps et aisément. Il serait bon que vous vous efforciez d’ouvrir vous-même l’Arche sainte, lorsqu’est lue la Torah, à condition qu’il n’en résulte pas un comportement ostentatoire. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles.
Vous transmettrez à votre épouse qu’elle doit raffermir sa confiance en D.ieu, être certaine que tout se passera bien, en son temps et aisément. En plus de la Tsédaka qu’elle dédie actuellement à Rabbi Meïr Baal Haness, avant d’allumer les bougies, elle donnera aussi, chaque jour, dix huit pennies pour cette Tsédaka.
Vous me dites avoir appris que votre frère devait prendre le bateau pour l’Asie, pendant ‘Hol Hamoéd Pessa’h. Il a sans doute emporté ses Tefilin, comme je le lui ai dit. Il serait également bon qu’il dispose d’un Sidour et d’un livre de Tehilim. Pour qu’il puisse les avoir toujours sur lui, vous en trouverez une édition d’un petit format et vous les lui enverrez. Que D.ieu le garde, partout où il ira et qu’il rentre, sain et sauf, en bonne santé, à la maison.
Je me rendrai, ces jours-ci, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi et comme vous me l’avez demandé, je mentionnerai les noms de votre père, pour qu’il ait la prospérité matérielle et de votre épouse, pour qu’elle éduque tous vos enfants à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
Avec ma bénédiction,
27 Nissan 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Puisse D.ieu faire que la grossesse de votre épouse se passe bien, qu’elle enfante en son temps et aisément. Il serait bon que vous vous efforciez d’ouvrir vous-même l’Arche sainte, lorsqu’est lue la Torah, à condition qu’il n’en résulte pas un comportement ostentatoire. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles.
Vous transmettrez à votre épouse qu’elle doit raffermir sa confiance en D.ieu, être certaine que tout se passera bien, en son temps et aisément. En plus de la Tsédaka qu’elle dédie actuellement à Rabbi Meïr Baal Haness, avant d’allumer les bougies, elle donnera aussi, chaque jour, dix huit pennies pour cette Tsédaka.
Vous me dites avoir appris que votre frère devait prendre le bateau pour l’Asie, pendant ‘Hol Hamoéd Pessa’h. Il a sans doute emporté ses Tefilin, comme je le lui ai dit. Il serait également bon qu’il dispose d’un Sidour et d’un livre de Tehilim. Pour qu’il puisse les avoir toujours sur lui, vous en trouverez une édition d’un petit format et vous les lui enverrez. Que D.ieu le garde, partout où il ira et qu’il rentre, sain et sauf, en bonne santé, à la maison.
Je me rendrai, ces jours-ci, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi et comme vous me l’avez demandé, je mentionnerai les noms de votre père, pour qu’il ait la prospérité matérielle et de votre épouse, pour qu’elle éduque tous vos enfants à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la largesse.
Avec ma bénédiction,