Lettre n° 1531
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre avec joie. Vous m’annoncez la naissance de votre fils, en un moment fructueux et je vous exprime, par la présente, ma bénédiction de Mazal Tov. Puissiez-vous mériter de l’introduire dans l’alliance de notre père Avraham, en un moment bon et fructueux. Vous l’éduquerez, avec votre épouse, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la tranquillité de l’esprit et du corps.
Pour ce qui est de la poursuite de vos études, vous prendrez conseil, dans votre ville, auprès de ceux qui vous connaissent.
J’attends de bonnes nouvelles de votre état de santé et je vous adresse ma bénédiction de Mazal Tov et de bonne santé pour tous,
N. B. : Vous m’interrogez sur le prénom(1). En effet, le père de votre épouse s’appelait... et vous me demandez si vous devez ajouter à ce prénom celui de ‘Haïm ou non(2). Vous savez ce que disait mon beau-père, le Rabbi, à ce propos : “ En la matière, je n’interviens pas. Puisse D.ieu faire qu’il ait une longue vie ”.
Sa position peut vraisemblablement être interprétée à la lumière des écrits du Ari Zal, dans le Chaar Haguilgoulim, vingt troisième avant propos : “ Lorsqu’un enfant naît et que ses parents lui donnent un nom(3), il n’y a nullement là le fait du hasard. En fait, le Saint béni soit-Il met dans leur bouche le nom dont cette âme a besoin. Car, celui-ci est inscrit là-haut, près du Trône céleste, comme on le sait ”. Vous consulterez également le Emek Haméle’h, à la première porte, fin du chapitre 4.
Vous prendrez donc la décision avec votre épouse et, en fonction de ce qui vient d’être dit, votre choix sera sûrement le bon, matériellement et spirituellement.
Notes
(1) De l’enfant qui vient de naître.
(2) Peut être parce que le père de l’épouse était mort prématurément.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1295.
1er jour de Roch ‘Hodech Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre avec joie. Vous m’annoncez la naissance de votre fils, en un moment fructueux et je vous exprime, par la présente, ma bénédiction de Mazal Tov. Puissiez-vous mériter de l’introduire dans l’alliance de notre père Avraham, en un moment bon et fructueux. Vous l’éduquerez, avec votre épouse, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, dans la tranquillité de l’esprit et du corps.
Pour ce qui est de la poursuite de vos études, vous prendrez conseil, dans votre ville, auprès de ceux qui vous connaissent.
J’attends de bonnes nouvelles de votre état de santé et je vous adresse ma bénédiction de Mazal Tov et de bonne santé pour tous,
N. B. : Vous m’interrogez sur le prénom(1). En effet, le père de votre épouse s’appelait... et vous me demandez si vous devez ajouter à ce prénom celui de ‘Haïm ou non(2). Vous savez ce que disait mon beau-père, le Rabbi, à ce propos : “ En la matière, je n’interviens pas. Puisse D.ieu faire qu’il ait une longue vie ”.
Sa position peut vraisemblablement être interprétée à la lumière des écrits du Ari Zal, dans le Chaar Haguilgoulim, vingt troisième avant propos : “ Lorsqu’un enfant naît et que ses parents lui donnent un nom(3), il n’y a nullement là le fait du hasard. En fait, le Saint béni soit-Il met dans leur bouche le nom dont cette âme a besoin. Car, celui-ci est inscrit là-haut, près du Trône céleste, comme on le sait ”. Vous consulterez également le Emek Haméle’h, à la première porte, fin du chapitre 4.
Vous prendrez donc la décision avec votre épouse et, en fonction de ce qui vient d’être dit, votre choix sera sûrement le bon, matériellement et spirituellement.
Notes
(1) De l’enfant qui vient de naître.
(2) Peut être parce que le père de l’épouse était mort prématurément.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1295.