Lettre n° 1544
Par la grâce de D.ieu,
6 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) J’ai reçu votre lettre en son temps et l’on m’a transmis, ces jours-ci, vos salutations et le contenu de ce que vous avez écrit aux Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Yossef Halevi Weinberg. Vous avez sûrement reçu, en leur temps, les fascicules(1), mes lettres collectives et le télégramme(2). Vous avez sans doute diffusé leur texte ou, tout au moins, leur contenu, de la manière qui convient.
B) Il est sûrement inutile de vous rappeler que vous devez donner à votre fille, qui va visiter la Terre Sainte, l’adresse des ‘Hassidim et de nos institutions. Je suis sûr que vous l’avez fait de votre propre initiative. Ainsi, elle pourra aller voir ces endroits et il y a bon espoir que cela exercera sur elle une influence positive.
Le Rabbi Maharach dit, en effet(3) : “ Si le bien est effectivement bien, est-ce à dire que le meilleur ne soit pas envisageable ? ”. Je vous remercie de me dire ce que vous ferez, dans ce domaine, les endroits qu’elle visitera et l’impression que lui fera cette visite.
C) J’ai beaucoup apprécié votre intervention à propos de ‘Habad Loubavitch, lors de la session du Board of Deputies(4). Nos Sages disent que les forces du mal prennent l’apparence de la sainteté, comme un singe qui imite l’homme. Néanmoins, pour notre regret et notre douleur, il est différents points que nous devons apprendre de nos opposants.
On peut constater que leur effronterie leur confère la réussite, en particulier ces derniers temps. Or, si une telle attitude, qui n’a pas sa raison d’être, peut apporter des résultats, combien plus peut le faire la largesse véritable, ainsi qu’il est dit “ j’avancerai dans la largesse ”, dans les domaines de la sainteté, sans s’affecter des voiles et des obstacles. Il est une certitude absolue que, de la sorte, on connaîtra le succès, au final.
Ce que vous venez de faire en apporte la preuve. Vous être parvenu à mettre en éveil le sentiment profond qui était caché en... Et, cette preuve est double. Tout d’abord, mon beau-père, le Rabbi dit(5) que “ tous se soumettent devant la vérité ”. Et, les ‘Hassidim des générations antérieures avaient ce proverbe : “ un sentiment ‘hassidique n’est jamais perdu ”, ce qui veut dire, non seulement, qu’il s’exprime sous la forme d’une contribution à la Tsédaka ou d’une bonne action, mais aussi qu’il revient, à terme, vers la ‘Hassidout, comme l’établit cet épisode.
Puisse D.ieu faire que vous fassiez preuve de la détermination nécessaire. Ainsi, vos actions fructueuses vous procureront uniquement du plaisir et de la satisfaction, mais aucune déception, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Avec ma bénédiction de réussite pour servir D.ieu dans la joie et la largesse,
Notes
(1) Des enseignements du précédent Rabbi.
(2) Edités à l’occasion de la fête de Pessa’h.
(3) Voir les lettres n°1224 et 1566.
(4) Organisme représentatif des communautés juives en Angleterre.
(5) Voir les lettres n°1224 et 1566.
6 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) J’ai reçu votre lettre en son temps et l’on m’a transmis, ces jours-ci, vos salutations et le contenu de ce que vous avez écrit aux Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, le Rav Yossef Halevi Weinberg. Vous avez sûrement reçu, en leur temps, les fascicules(1), mes lettres collectives et le télégramme(2). Vous avez sans doute diffusé leur texte ou, tout au moins, leur contenu, de la manière qui convient.
B) Il est sûrement inutile de vous rappeler que vous devez donner à votre fille, qui va visiter la Terre Sainte, l’adresse des ‘Hassidim et de nos institutions. Je suis sûr que vous l’avez fait de votre propre initiative. Ainsi, elle pourra aller voir ces endroits et il y a bon espoir que cela exercera sur elle une influence positive.
Le Rabbi Maharach dit, en effet(3) : “ Si le bien est effectivement bien, est-ce à dire que le meilleur ne soit pas envisageable ? ”. Je vous remercie de me dire ce que vous ferez, dans ce domaine, les endroits qu’elle visitera et l’impression que lui fera cette visite.
C) J’ai beaucoup apprécié votre intervention à propos de ‘Habad Loubavitch, lors de la session du Board of Deputies(4). Nos Sages disent que les forces du mal prennent l’apparence de la sainteté, comme un singe qui imite l’homme. Néanmoins, pour notre regret et notre douleur, il est différents points que nous devons apprendre de nos opposants.
On peut constater que leur effronterie leur confère la réussite, en particulier ces derniers temps. Or, si une telle attitude, qui n’a pas sa raison d’être, peut apporter des résultats, combien plus peut le faire la largesse véritable, ainsi qu’il est dit “ j’avancerai dans la largesse ”, dans les domaines de la sainteté, sans s’affecter des voiles et des obstacles. Il est une certitude absolue que, de la sorte, on connaîtra le succès, au final.
Ce que vous venez de faire en apporte la preuve. Vous être parvenu à mettre en éveil le sentiment profond qui était caché en... Et, cette preuve est double. Tout d’abord, mon beau-père, le Rabbi dit(5) que “ tous se soumettent devant la vérité ”. Et, les ‘Hassidim des générations antérieures avaient ce proverbe : “ un sentiment ‘hassidique n’est jamais perdu ”, ce qui veut dire, non seulement, qu’il s’exprime sous la forme d’une contribution à la Tsédaka ou d’une bonne action, mais aussi qu’il revient, à terme, vers la ‘Hassidout, comme l’établit cet épisode.
Puisse D.ieu faire que vous fassiez preuve de la détermination nécessaire. Ainsi, vos actions fructueuses vous procureront uniquement du plaisir et de la satisfaction, mais aucune déception, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Avec ma bénédiction de réussite pour servir D.ieu dans la joie et la largesse,
Notes
(1) Des enseignements du précédent Rabbi.
(2) Edités à l’occasion de la fête de Pessa’h.
(3) Voir les lettres n°1224 et 1566.
(4) Organisme représentatif des communautés juives en Angleterre.
(5) Voir les lettres n°1224 et 1566.