Lettre n° 1553
Par la grâce de D.ieu,
6 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai pris connaissance, avec plaisir, par votre lettre, des événements positifs qui vous arrivent. Et, sans doute, à réception de ma lettre, votre épouse aura-t-elle pleinement recouvré la santé.
Vous évoquez la possibilité de travailler pour la Yechiva Loubavitch de votre ville. Je me suis renseigné et il semble que, pour l’heure, cela ne soit pas possible. Vous m’écrivez que vous avez le cœur brisé en considérant votre propre situation. Vous faites sans doute allusion à vos difficultés matérielles.
Je suis particulièrement surpris de votre attitude. Vous, votre épouse et ceux qui vous entourent avez vu les merveilles de D.ieu, au fil des années. Chacun d’entre nous est un rescapé, que D.ieu a sauvé de façon miraculeuse, car “ vous n’êtes pas la majorité d’entre les peuples ”. Comment, après tout cela, avoir le cœur brisé ?
Bien plus, vous êtes installé, depuis quelques temps, dans un endroit nouveau. Vous devez donc placer votre confiance en Celui Qui nourrit et satisfait chacun. Il vous permettra de gagner votre vie comme il convient. Quand ce sera effectivement le cas, vous serez vous-même surpris de votre découragement, conçu pour ce qui n’était que passager.
Puisse D.ieu faire que vous adoptiez la voie du Baal Chem Tov, basée sur le verset : “ Servez D.ieu dans la joie ”. Ainsi, même quand il s’agit de servir D.ieu, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, connais Le ”, il est également nécessaire d’être joyeux, comme l’expliquent le Rambam, lois des opinions, chapitre 3, de même que le Tour et Choul’han Arou’h, au chapitre 231.
Avec le temps, je suis sûr que vous serez joyeux, non pas par soumission, mais parce que vous comprendrez, par votre intellect, qu’il doit en être ainsi, qu’il y a effectivement lieu de se réjouir, non uniquement par son âme divine, mais aussi par son corps et son âme animale.
Avec ma bénédiction pour une bonne installation, matérielle et spirituelle,
6 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai pris connaissance, avec plaisir, par votre lettre, des événements positifs qui vous arrivent. Et, sans doute, à réception de ma lettre, votre épouse aura-t-elle pleinement recouvré la santé.
Vous évoquez la possibilité de travailler pour la Yechiva Loubavitch de votre ville. Je me suis renseigné et il semble que, pour l’heure, cela ne soit pas possible. Vous m’écrivez que vous avez le cœur brisé en considérant votre propre situation. Vous faites sans doute allusion à vos difficultés matérielles.
Je suis particulièrement surpris de votre attitude. Vous, votre épouse et ceux qui vous entourent avez vu les merveilles de D.ieu, au fil des années. Chacun d’entre nous est un rescapé, que D.ieu a sauvé de façon miraculeuse, car “ vous n’êtes pas la majorité d’entre les peuples ”. Comment, après tout cela, avoir le cœur brisé ?
Bien plus, vous êtes installé, depuis quelques temps, dans un endroit nouveau. Vous devez donc placer votre confiance en Celui Qui nourrit et satisfait chacun. Il vous permettra de gagner votre vie comme il convient. Quand ce sera effectivement le cas, vous serez vous-même surpris de votre découragement, conçu pour ce qui n’était que passager.
Puisse D.ieu faire que vous adoptiez la voie du Baal Chem Tov, basée sur le verset : “ Servez D.ieu dans la joie ”. Ainsi, même quand il s’agit de servir D.ieu, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, connais Le ”, il est également nécessaire d’être joyeux, comme l’expliquent le Rambam, lois des opinions, chapitre 3, de même que le Tour et Choul’han Arou’h, au chapitre 231.
Avec le temps, je suis sûr que vous serez joyeux, non pas par soumission, mais parce que vous comprendrez, par votre intellect, qu’il doit en être ainsi, qu’il y a effectivement lieu de se réjouir, non uniquement par son âme divine, mais aussi par son corps et son âme animale.
Avec ma bénédiction pour une bonne installation, matérielle et spirituelle,