Lettre n° 1577
Par la grâce de D.ieu,
24 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné d’apprendre qu’en enseignant la ‘Hassidout à la Yechiva Loubavitch, vous marquez des différences entre les élèves. Vous en avez renvoyé certains de votre cours et il en est d’autres auxquels vous ne vous intéressez pas.
J’en suis particulièrement surpris. Comment pouvez-vous faire pareille chose? Qui d’entre nous peut s’arroger le droit de renvoyer un garçon ou un jeune homme d’un cours de Tanya ou de ‘Hassidout? Bien au contraire, chacun de nous doit s’efforcer d’attirer quiconque peut y prendre part, même de manière imparfaite et lui donner accès à l’enseignement le plus large.
Différentes causeries rapportent que, depuis le Baal Chem Tov, on se dirige vers celui qui doit recevoir, à la différence de ce qui est pratiqué dans d’autres cercles. Bien évidemment, ce déplacement n’est pas seulement physique. Il implique aussi de quitter son propre niveau, de se rapprocher, de trouver les mots qui conviennent à l’auditoire qui, pour l’heure, ne se trouve pas encore à ce niveau.
Il m’est difficile d’en dire plus, mais tout cela est douloureux. J’ai bon espoir que vous ferez évoluer la situation, dans toute la mesure du possible. Même s’il y a la moindre chance qu’un élève puisse bénéficier d’un cours de ‘Hassidout ou de Tanya, il faut qu’il y participe. Et, l’on doit rechercher son bien, s’enquérir de sa situation.
En conséquence, les causeries et les fascicules que l’on enseigne doivent être choisis en fonction de ce que peuvent comprendre ces élèves, dont la logique n’est, pour l’heure, pas très développée.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
24 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été peiné d’apprendre qu’en enseignant la ‘Hassidout à la Yechiva Loubavitch, vous marquez des différences entre les élèves. Vous en avez renvoyé certains de votre cours et il en est d’autres auxquels vous ne vous intéressez pas.
J’en suis particulièrement surpris. Comment pouvez-vous faire pareille chose? Qui d’entre nous peut s’arroger le droit de renvoyer un garçon ou un jeune homme d’un cours de Tanya ou de ‘Hassidout? Bien au contraire, chacun de nous doit s’efforcer d’attirer quiconque peut y prendre part, même de manière imparfaite et lui donner accès à l’enseignement le plus large.
Différentes causeries rapportent que, depuis le Baal Chem Tov, on se dirige vers celui qui doit recevoir, à la différence de ce qui est pratiqué dans d’autres cercles. Bien évidemment, ce déplacement n’est pas seulement physique. Il implique aussi de quitter son propre niveau, de se rapprocher, de trouver les mots qui conviennent à l’auditoire qui, pour l’heure, ne se trouve pas encore à ce niveau.
Il m’est difficile d’en dire plus, mais tout cela est douloureux. J’ai bon espoir que vous ferez évoluer la situation, dans toute la mesure du possible. Même s’il y a la moindre chance qu’un élève puisse bénéficier d’un cours de ‘Hassidout ou de Tanya, il faut qu’il y participe. Et, l’on doit rechercher son bien, s’enquérir de sa situation.
En conséquence, les causeries et les fascicules que l’on enseigne doivent être choisis en fonction de ce que peuvent comprendre ces élèves, dont la logique n’est, pour l’heure, pas très développée.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,