Lettre n° 1578
Par la grâce de D.ieu,
24 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 5/13, dans laquelle vous me demandez un conseil, de la part de votre fils, à propos du parti qu’on lui propose. En effet, il n’est pas certain que les parents de cette jeune fille pourront l’aider financièrement, de manière conséquente.
Voici quel est mon avis. Vous me dites qu’elle possède des qualités qui conviennent à votre fils. C’est bien là le point essentiel de cette proposition. Et, D.ieu les aidera à subvenir à leurs besoins. Sans doute, les parents de l’un et de l’autre les aideront-ils, au moins dans un premier temps. Bien plus, vous me dites que les parents de cette jeune fille possèdent une fabrique.
Vous m’écrivez aussi que le Rav... vous en veut sûrement, car on avait pensé à sa fille pour votre fils. Je ne sais que répondre à cette question, ne connaissant pas les détails et en particulier jusqu’à quel point il y a eu un engagement, en la matière. Si votre fils n’a pas rencontré cette jeune fille et que vous n’aviez rien formalisé, il n’y a pas lieu d’en tenir compte. A l’opposé, si votre fils s’est engagé envers elle, il doit lui demander pardon. Sans doute m’écrirez-vous plus de détails, sur ce point.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai votre nom, celui de votre épouse et celui de votre fils, pour la satisfaction des besoins de chacun.
Je vous souhaite une joyeuse fête de Chavouot.
N. B. : Sans doute lisez-vous des Tehilim chaque jour et vous étudiez un passage du ‘Houmach. Votre épouse donne, elle-même, de la Tsédaka pour Rabbi Meïr Baal Haness, chaque fois qu’elle allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes, comme je vous l’ai déjà écrit dans mes précédentes lettres.
24 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 5/13, dans laquelle vous me demandez un conseil, de la part de votre fils, à propos du parti qu’on lui propose. En effet, il n’est pas certain que les parents de cette jeune fille pourront l’aider financièrement, de manière conséquente.
Voici quel est mon avis. Vous me dites qu’elle possède des qualités qui conviennent à votre fils. C’est bien là le point essentiel de cette proposition. Et, D.ieu les aidera à subvenir à leurs besoins. Sans doute, les parents de l’un et de l’autre les aideront-ils, au moins dans un premier temps. Bien plus, vous me dites que les parents de cette jeune fille possèdent une fabrique.
Vous m’écrivez aussi que le Rav... vous en veut sûrement, car on avait pensé à sa fille pour votre fils. Je ne sais que répondre à cette question, ne connaissant pas les détails et en particulier jusqu’à quel point il y a eu un engagement, en la matière. Si votre fils n’a pas rencontré cette jeune fille et que vous n’aviez rien formalisé, il n’y a pas lieu d’en tenir compte. A l’opposé, si votre fils s’est engagé envers elle, il doit lui demander pardon. Sans doute m’écrirez-vous plus de détails, sur ce point.
Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai votre nom, celui de votre épouse et celui de votre fils, pour la satisfaction des besoins de chacun.
Je vous souhaite une joyeuse fête de Chavouot.
N. B. : Sans doute lisez-vous des Tehilim chaque jour et vous étudiez un passage du ‘Houmach. Votre épouse donne, elle-même, de la Tsédaka pour Rabbi Meïr Baal Haness, chaque fois qu’elle allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes, comme je vous l’ai déjà écrit dans mes précédentes lettres.