Lettre n° 1585
Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous m’apprenez que vous avez commencé vos études à la Yechiva Torat Emet(1). Vous sollicitez ma bénédiction pour que ces études soient fructueuses.
Nos Sages disent que: "celui qui dit qu’il a fait des efforts et que ceux-ci ont été couronnés de succès, crois le". Tout dépend donc de vous, surtout en ces jours propices, où l’on s’apprête à recevoir la Torah. Vous devez donc graver en votre esprit la manière de se préparer à la recevoir, qui est la proclamation selon laquelle "nous ferons et (ensuite) nous comprendrons".
Ces deux points(2) existent, l’un et l’autre, au sein de l’étude de la Torah. En effet, il faut d’abord l’envisager par soumission, même si l’on ne comprend pas la nécessité de l’effort moral et physique qui est nécessaire, pour l’étudier. C’est seulement par la suite que l’on parvient à la "comprendre".
C’est de cette façon que l’on reçoit la Torah, que l’on a le mérite de l’étudier de manière fructueuse, en craignant D.ieu et de l’interpréter avec exactitude. Différents textes de la ‘Hassidout, qui est la Parole du D.ieu de vie, expliquent tout cela.
Avec ma bénédiction pour une étude de la Torah pénétrée de crainte de D.ieu,
Notes
(1) La Yechiva Loubavitch de Jérusalem.
(2) Le "nous ferons" et le "nous comprendrons".
25 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous m’apprenez que vous avez commencé vos études à la Yechiva Torat Emet(1). Vous sollicitez ma bénédiction pour que ces études soient fructueuses.
Nos Sages disent que: "celui qui dit qu’il a fait des efforts et que ceux-ci ont été couronnés de succès, crois le". Tout dépend donc de vous, surtout en ces jours propices, où l’on s’apprête à recevoir la Torah. Vous devez donc graver en votre esprit la manière de se préparer à la recevoir, qui est la proclamation selon laquelle "nous ferons et (ensuite) nous comprendrons".
Ces deux points(2) existent, l’un et l’autre, au sein de l’étude de la Torah. En effet, il faut d’abord l’envisager par soumission, même si l’on ne comprend pas la nécessité de l’effort moral et physique qui est nécessaire, pour l’étudier. C’est seulement par la suite que l’on parvient à la "comprendre".
C’est de cette façon que l’on reçoit la Torah, que l’on a le mérite de l’étudier de manière fructueuse, en craignant D.ieu et de l’interpréter avec exactitude. Différents textes de la ‘Hassidout, qui est la Parole du D.ieu de vie, expliquent tout cela.
Avec ma bénédiction pour une étude de la Torah pénétrée de crainte de D.ieu,
Notes
(1) La Yechiva Loubavitch de Jérusalem.
(2) Le "nous ferons" et le "nous comprendrons".