Lettre n° 1590
Par la grâce de D.ieu,
26 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, par les ‘Hassidim résidant en Terre Sainte, que vous avez visité ce pays. J’espère que vous ferez usage de votre visite en notre Terre Sainte de la manière la plus positive.
A mon sens, il est particulièrement utile que vous fassiez les recherches nécessaires pour vous marier. Sans doute, avez-vous, là-bas, des amis. Selon l’expression de mon beau-père, le Rabbi, tous les ‘Hassidim ne forment qu’une seule et même famille. Je suis donc convaincu que les ‘Hassidim, sur place, vous viendront en aide, dans ce domaine et dans les autres, dans toute la mesure de leurs moyens. Si vous investissez, en la matière, toute l’énergie nécessaire, D.ieu vous fera connaître la réussite.
Je suppose qu’il est inutile de vous rappeler la signification du nom d’Erets Israël. Les Juifs ne sont pas les seuls à l’appeler ainsi. Toutes les nations en font de même et parlent de la Terre Sainte. Notre sainte Torah constate que "vers elles sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année". Cela signifie qu’aussi proche de D.ieu que l’on puisse être en dehors d’Erets Israël, on doit, néanmoins, ressentir une proximité de D.ieu considérablement accrue, dès lors que l’on se trouve dans ce pays.
Celui qui se trouve dans un endroit d’une grande luminosité fermera les yeux et ne voudra pas les rouvrir pour vérifier que la lumière est toujours présente. Il prétendra donc qu’il est dans l’obscurité, mais ceci ne diminuera rien à la clarté de l’endroit. Il en est donc de même pour Erets Israël. Les yeux de l’âme peuvent ne pas être totalement ouverts, pour différentes raisons. Mais, cela ne change rien à la réalité. Il s’agit bien d’un pays vers lequel "toujours, sont tournés les yeux de D.ieu".
Lorsque l’on a le mérite de se trouver encore plus près du Saint béni soit-Il, il est certain que son âme en tire une force accrue pour mettre en pratique, dans l’existence quotidienne, toutes les bonnes résolutions. Lorsque l’on est en Erets Israël, on peut accéder à toutes les pratiques que l’on considérait comme inaccessibles et l’on s’aperçoit que cela est beaucoup plus aisé que ce que l’on imaginait auparavant. Non seulement, il n’en découle rien de négatif, ce qu’à D.ieu ne plaise, mais l’on peut même s’en trouver aidé, en tous ses besoins.
Bien évidemment, mon but n’est pas de faire des discours, mais bien d’encourager l’action concrète. Chacun d’entre nous n’est pas intègre et entier, éprouve des manques dans certains domaines de la Torah et des Mitsvot. Bien souvent, on trouve le moyen de se justifier. On explique que l’on doit bien tenir compte de la nécessité de gagner sa vie, des voisins, de son propre corps.
Néanmoins, quand on médite, même un court instant, on comprend que D.ieu a crée le monde entier et l’homme, qu’Il attend de lui un tel comportement, qu’Il ne peut pas attendre un acte de sa part s’Il ne lui a pas donné les moyens de le réaliser. Tout ne dépend donc que de l’homme lui-même.
On comprend également que D.ieu, Qui est l’Essence du bien, ne demandera pas à l’homme de faire ce qui lui causera du tort. A l’opposé, celui qui met en pratique l’Injonction de D.ieu ne Lui rend pas un service. Il est clair que rien ne Lui manque et Il se passe des bienfaits des hommes. C’est, en fait, un bien pour l’homme lui-même, qui connaît, en agissant ainsi, le bonheur matériel et spirituel.
Celui qui adopte le comportement prôné par D.ieu sera véritablement heureux et, comme je l’ai dit, même s’il semble que cela est difficile, ce n’est, en réalité, qu’une épreuve que l’on pourra surmonter, avec l’effort qui convient. Bien plus, on se réjouira de cette épreuve, qui permettra d’agir, par la suite, d’une manière plus agréable et satisfaisante.
En ces jours, nous nous apprêtons, au sein de tout le peuple juif, à célébrer la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah. Nous devons donc graver en notre mémoire que la proclamation du peuple d’Israël, lors de ce don, fut: "Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons". Chacun doit pouvoir, à l’heure actuelle, prendre le même engagement. C’est le moyen, pour chacun d’entre nous, de connaître une existence positive et heureuse, matériellement et spirituellement.
En vous souhaitant la réussite dans les domaines qui vous concernent et pour que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles, à ce propos,
26 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, par les ‘Hassidim résidant en Terre Sainte, que vous avez visité ce pays. J’espère que vous ferez usage de votre visite en notre Terre Sainte de la manière la plus positive.
A mon sens, il est particulièrement utile que vous fassiez les recherches nécessaires pour vous marier. Sans doute, avez-vous, là-bas, des amis. Selon l’expression de mon beau-père, le Rabbi, tous les ‘Hassidim ne forment qu’une seule et même famille. Je suis donc convaincu que les ‘Hassidim, sur place, vous viendront en aide, dans ce domaine et dans les autres, dans toute la mesure de leurs moyens. Si vous investissez, en la matière, toute l’énergie nécessaire, D.ieu vous fera connaître la réussite.
Je suppose qu’il est inutile de vous rappeler la signification du nom d’Erets Israël. Les Juifs ne sont pas les seuls à l’appeler ainsi. Toutes les nations en font de même et parlent de la Terre Sainte. Notre sainte Torah constate que "vers elles sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année". Cela signifie qu’aussi proche de D.ieu que l’on puisse être en dehors d’Erets Israël, on doit, néanmoins, ressentir une proximité de D.ieu considérablement accrue, dès lors que l’on se trouve dans ce pays.
Celui qui se trouve dans un endroit d’une grande luminosité fermera les yeux et ne voudra pas les rouvrir pour vérifier que la lumière est toujours présente. Il prétendra donc qu’il est dans l’obscurité, mais ceci ne diminuera rien à la clarté de l’endroit. Il en est donc de même pour Erets Israël. Les yeux de l’âme peuvent ne pas être totalement ouverts, pour différentes raisons. Mais, cela ne change rien à la réalité. Il s’agit bien d’un pays vers lequel "toujours, sont tournés les yeux de D.ieu".
Lorsque l’on a le mérite de se trouver encore plus près du Saint béni soit-Il, il est certain que son âme en tire une force accrue pour mettre en pratique, dans l’existence quotidienne, toutes les bonnes résolutions. Lorsque l’on est en Erets Israël, on peut accéder à toutes les pratiques que l’on considérait comme inaccessibles et l’on s’aperçoit que cela est beaucoup plus aisé que ce que l’on imaginait auparavant. Non seulement, il n’en découle rien de négatif, ce qu’à D.ieu ne plaise, mais l’on peut même s’en trouver aidé, en tous ses besoins.
Bien évidemment, mon but n’est pas de faire des discours, mais bien d’encourager l’action concrète. Chacun d’entre nous n’est pas intègre et entier, éprouve des manques dans certains domaines de la Torah et des Mitsvot. Bien souvent, on trouve le moyen de se justifier. On explique que l’on doit bien tenir compte de la nécessité de gagner sa vie, des voisins, de son propre corps.
Néanmoins, quand on médite, même un court instant, on comprend que D.ieu a crée le monde entier et l’homme, qu’Il attend de lui un tel comportement, qu’Il ne peut pas attendre un acte de sa part s’Il ne lui a pas donné les moyens de le réaliser. Tout ne dépend donc que de l’homme lui-même.
On comprend également que D.ieu, Qui est l’Essence du bien, ne demandera pas à l’homme de faire ce qui lui causera du tort. A l’opposé, celui qui met en pratique l’Injonction de D.ieu ne Lui rend pas un service. Il est clair que rien ne Lui manque et Il se passe des bienfaits des hommes. C’est, en fait, un bien pour l’homme lui-même, qui connaît, en agissant ainsi, le bonheur matériel et spirituel.
Celui qui adopte le comportement prôné par D.ieu sera véritablement heureux et, comme je l’ai dit, même s’il semble que cela est difficile, ce n’est, en réalité, qu’une épreuve que l’on pourra surmonter, avec l’effort qui convient. Bien plus, on se réjouira de cette épreuve, qui permettra d’agir, par la suite, d’une manière plus agréable et satisfaisante.
En ces jours, nous nous apprêtons, au sein de tout le peuple juif, à célébrer la fête de Chavouot, temps du don de notre Torah. Nous devons donc graver en notre mémoire que la proclamation du peuple d’Israël, lors de ce don, fut: "Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons". Chacun doit pouvoir, à l’heure actuelle, prendre le même engagement. C’est le moyen, pour chacun d’entre nous, de connaître une existence positive et heureuse, matériellement et spirituellement.
En vous souhaitant la réussite dans les domaines qui vous concernent et pour que vous puissiez m’annoncer de bonnes nouvelles, à ce propos,