Lettre n° 1595
Par la grâce de D.ieu,
26 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, par laquelle vous m’apprenez que vous vous êtes fiancé avec le jeune homme, ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav... Vous sollicitez ma bénédiction pour que votre union soit scellée en un moment bon et fructueux. Vous me dites aussi que vous n’êtes pas issue d’une famille ‘hassidique et que n’avez donc pas grande connaissance de ce que vous devez savoir. Néanmoins, vous chercherez à acquérir ces connaissances au plus vite, par l’intermédiaire de votre belle famille.
J’ai lu votre lettre avec satisfaction. Je vous accorde ma bénédiction, ainsi qu’à votre fiancée, pour que vous fixiez votre mariage en un moment fructueux, qu’il soit célébré avec bonheur et vous permette de bâtir un foyer juif, basé sur la Torah et les Mitsvot, comme l’explique la ‘Hassidout, de même que sur les coutumes et les pratiques ‘hassidiques.
Vous écrivez que vous n’êtes pas issue d’une famille ‘hassidique, mais vous ne devez avoir aucune crainte, à ce sujet. Selon le proverbe de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya, la ‘Hassidout s’adresse à tout le peuple juif. Elle est exprimée et a été transmise sous une forme qui la rend accessible à chacun, homme ou femme. Tous peuvent mettre en pratique ses enseignements, dans leur existence quotidienne. Il suffit de le vouloir pour que D.ieu en donne la possibilité et permette de l’appliquer dans sa vie.
Nous nous apprêtons à célébrer le don de la Torah dans quelques jours. Vous savez sans doute ce que raconte le Midrach, rapportant la Parole de D.ieu à Moché, qui lui demandait de transmettre la Torah d’abord aux femmes. Il y a là un enseignement s’appliquant, chez les Juifs, dans différents domaines.
Lorsque l’on s’apprête à bâtir une maison, en particulier, qu’elle soit individuelle ou collective, on doit savoir que la responsabilité en repose essentiellement sur la femme, qui est la maîtresse de maison, son aspect essentiel. La pratique démontre, de manière incontestable, qu’il en est bien ainsi. La conduite du foyer, l’éducation des enfants en particulier et même le comportement du mari dépendent d’elle.
Une femme doit donc avoir une pleine conscience de la mission qui lui incombe. Et, elle peut être certaine que D.ieu, Qui attend tout cela d’elle, lui en donne les forces et les moyens, dont elle peut faire usage dans son existence quotidienne.
Que D.ieu vous aide à constituer votre foyer et à adopter le comportement qui vient d’être défini. Vous célébrerez joyeusement la fête de Chavouot, puis vous aurez, pendant tout le reste de l’année, une vie de Torah et de Mitsvot.
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
26 Iyar 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, par laquelle vous m’apprenez que vous vous êtes fiancé avec le jeune homme, ‘Hassid qui craint D.ieu, Rav... Vous sollicitez ma bénédiction pour que votre union soit scellée en un moment bon et fructueux. Vous me dites aussi que vous n’êtes pas issue d’une famille ‘hassidique et que n’avez donc pas grande connaissance de ce que vous devez savoir. Néanmoins, vous chercherez à acquérir ces connaissances au plus vite, par l’intermédiaire de votre belle famille.
J’ai lu votre lettre avec satisfaction. Je vous accorde ma bénédiction, ainsi qu’à votre fiancée, pour que vous fixiez votre mariage en un moment fructueux, qu’il soit célébré avec bonheur et vous permette de bâtir un foyer juif, basé sur la Torah et les Mitsvot, comme l’explique la ‘Hassidout, de même que sur les coutumes et les pratiques ‘hassidiques.
Vous écrivez que vous n’êtes pas issue d’une famille ‘hassidique, mais vous ne devez avoir aucune crainte, à ce sujet. Selon le proverbe de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya, la ‘Hassidout s’adresse à tout le peuple juif. Elle est exprimée et a été transmise sous une forme qui la rend accessible à chacun, homme ou femme. Tous peuvent mettre en pratique ses enseignements, dans leur existence quotidienne. Il suffit de le vouloir pour que D.ieu en donne la possibilité et permette de l’appliquer dans sa vie.
Nous nous apprêtons à célébrer le don de la Torah dans quelques jours. Vous savez sans doute ce que raconte le Midrach, rapportant la Parole de D.ieu à Moché, qui lui demandait de transmettre la Torah d’abord aux femmes. Il y a là un enseignement s’appliquant, chez les Juifs, dans différents domaines.
Lorsque l’on s’apprête à bâtir une maison, en particulier, qu’elle soit individuelle ou collective, on doit savoir que la responsabilité en repose essentiellement sur la femme, qui est la maîtresse de maison, son aspect essentiel. La pratique démontre, de manière incontestable, qu’il en est bien ainsi. La conduite du foyer, l’éducation des enfants en particulier et même le comportement du mari dépendent d’elle.
Une femme doit donc avoir une pleine conscience de la mission qui lui incombe. Et, elle peut être certaine que D.ieu, Qui attend tout cela d’elle, lui en donne les forces et les moyens, dont elle peut faire usage dans son existence quotidienne.
Que D.ieu vous aide à constituer votre foyer et à adopter le comportement qui vient d’être défini. Vous célébrerez joyeusement la fête de Chavouot, puis vous aurez, pendant tout le reste de l’année, une vie de Torah et de Mitsvot.
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,