Lettre n° 1681
Par la grâce de D.ieu,
3 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Nathan Nota(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir, par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre fidèlement aux besoins communautaires, le Rav Mena’hem Chmouel David Halevi Reitchik, émissaire des Sages(2). Il m’a également transmis votre demande de bénédiction. Comme vous l’avez demandé, j’ai mentionné votre nom, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
J’ai appris avec plaisir que vous avez été, à l’époque, élève de la Yechiva Loubavitch, en Pologne. Les forces que nos saints maîtres ont insufflées aux élèves, en général et à ceux de la Yechiva Loubavitch, en particulier, ne peuvent pas être perdues, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi avait coutume de dire que "un ‘Hassid est intelligent. Il ne remet pas à demain ce qu’il peut accomplir aujourd’hui". Ceci s’applique, en particulier, à celui qui est responsable de l’ordre dans une synagogue et qui, au sein de celle-ci, peut donc obtenir de multiples résultats. Il peut, de manière discrète, réaliser bien plus que ce qu’il fait, de manière évidente et affirmée.
Le Tout Puissant ne reste pas en dette. Il récompense avec un intérêt qui dépasse le capital, en accordant une satisfaction juive et ‘hassidique de ses enfants et également de sa propre personne.
Avec ma bénédiction de bonne santé, physique et morale,
Notes
(1) Le Rav N. N. Dender.
(2) En Californie. Voir les lettres n°1682 et 1747.
3 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Nathan Nota(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai eu de vos nouvelles avec plaisir, par le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre fidèlement aux besoins communautaires, le Rav Mena’hem Chmouel David Halevi Reitchik, émissaire des Sages(2). Il m’a également transmis votre demande de bénédiction. Comme vous l’avez demandé, j’ai mentionné votre nom, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
J’ai appris avec plaisir que vous avez été, à l’époque, élève de la Yechiva Loubavitch, en Pologne. Les forces que nos saints maîtres ont insufflées aux élèves, en général et à ceux de la Yechiva Loubavitch, en particulier, ne peuvent pas être perdues, ce qu’à D.ieu ne plaise.
Néanmoins, mon beau-père, le Rabbi avait coutume de dire que "un ‘Hassid est intelligent. Il ne remet pas à demain ce qu’il peut accomplir aujourd’hui". Ceci s’applique, en particulier, à celui qui est responsable de l’ordre dans une synagogue et qui, au sein de celle-ci, peut donc obtenir de multiples résultats. Il peut, de manière discrète, réaliser bien plus que ce qu’il fait, de manière évidente et affirmée.
Le Tout Puissant ne reste pas en dette. Il récompense avec un intérêt qui dépasse le capital, en accordant une satisfaction juive et ‘hassidique de ses enfants et également de sa propre personne.
Avec ma bénédiction de bonne santé, physique et morale,
Notes
(1) Le Rav N. N. Dender.
(2) En Californie. Voir les lettres n°1682 et 1747.