Lettre n° 1699
Par la grâce de D.ieu,
10 Tamouz 5712,
Brooklyn,
A mon parent, le grand Rav, distingué ‘Hassid
qui craint D.ieu et se consacre aux besoins
communautaires, le Rav Avraham Yehouda(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du 2 Tamouz, avec la demande de bénédiction qui y était jointe, de même que votre lettre précédente. Je lirai la demande de bénédiction, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Ces jours propices de sa délivrance, les 12 et 13 Tamouz, ont un mérite particulier et celui dont nous célébrons la joie suscitera donc la bénédiction et la réussite pour ceux qui sont attachés à lui, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de tous leurs besoins et de ceux des membres de leur famille.
Je vous remercie également pour vos condoléances(2). Je vous joins une copie de ce que j’ai dit à ceux qui me présentaient les leurs, le 19 Iyar.
Ma mère ne sait ce qui s’est passé(3). En effet, nous craignons pour son état de santé. Je demande donc à tous ceux qui ont appris la nouvelle de ne rien lui écrire, à ce propos.
Quant aux manuscrits de ‘Hassidout qui se trouvent à Paris(4), vous me demandez s’il y a, sur place, de jeunes ‘Hassidim, capables de les obtenir(5). Ceux-ci sont des réfugiés, se trouvant dans une contrée étrangère et il ne faut donc pas compter sur leur influence.
Néanmoins, ils ont une bonne connaissance des manuscrits de ‘Hassidout et ils pourront sûrement vous aider, si vous avez besoin de leurs compétences et de leur expertise. Vous pouvez vous adresser directement à eux, par l’intermédiaire de notre bureau, à Paris(6). Un jeune homme possédant cette compétence est le Rav et ‘Hassid, Rav Hillel Pevsner(7).
Il convient, cependant, en l’occurrence, de demander à vos connaissances qui ont une influence, à Paris, de les contacter. Peut-être serait-il bon, dans un premier temps, d’envoyer ces manuscrits ici. Les démarches pourraient s’en trouver facilitées si vous expliquez que le centre de la ‘Hassidout ‘Habad, à laquelle ces manuscrits appartiennent, se trouvent ici.
Comme chaque année, un fascicule(8) a été édité, à l’occasion de la fête du 12 et 13 Tamouz. Vous le trouverez ci-joint. Il vous intéressera sûrement.
Je conclus ma lettre en vous exprimant mes respects, en vous saluant et en vous souhaitant une bonne santé, de même qu’aux membres de votre famille.
Votre parent,
N. B. : Vous mentionnez, dans votre lettre, le dicton suivant : "Tout retard est pour le bien". Je recherche, depuis longtemps, son origine dans la littérature juive. Pour l’heure, je ne l’ai pas trouvée.
Notes
(1) Le Rav A. Y. Hen, de Paris. Voir, à son propos, la lettre n°542.
(2) A l’occasion du décès du frère du Rabbi. Voir, à ce propos, la note, à la fin de la lettre n°1566.
(3) Elle n’a pas connaissance du décès de son fils.
(4) Ayant appartenu au grand Rav et ‘Hassid, le Rav David Tsvi Hen, père du Rav Avraham Yehouda Hen. Voir, à ce propos, la lettre n°1749.
(5) De faire les démarches pour obtenir leur restitution.
(6) Le bureau d’aide aux réfugiés, dirigé par le Rav Binyamin Gorodetski, à Paris.
(7) Voir, à son propos, la lettre n°1749.
(8) D’enseignements du précédent Rabbi.
10 Tamouz 5712,
Brooklyn,
A mon parent, le grand Rav, distingué ‘Hassid
qui craint D.ieu et se consacre aux besoins
communautaires, le Rav Avraham Yehouda(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du 2 Tamouz, avec la demande de bénédiction qui y était jointe, de même que votre lettre précédente. Je lirai la demande de bénédiction, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Ces jours propices de sa délivrance, les 12 et 13 Tamouz, ont un mérite particulier et celui dont nous célébrons la joie suscitera donc la bénédiction et la réussite pour ceux qui sont attachés à lui, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de tous leurs besoins et de ceux des membres de leur famille.
Je vous remercie également pour vos condoléances(2). Je vous joins une copie de ce que j’ai dit à ceux qui me présentaient les leurs, le 19 Iyar.
Ma mère ne sait ce qui s’est passé(3). En effet, nous craignons pour son état de santé. Je demande donc à tous ceux qui ont appris la nouvelle de ne rien lui écrire, à ce propos.
Quant aux manuscrits de ‘Hassidout qui se trouvent à Paris(4), vous me demandez s’il y a, sur place, de jeunes ‘Hassidim, capables de les obtenir(5). Ceux-ci sont des réfugiés, se trouvant dans une contrée étrangère et il ne faut donc pas compter sur leur influence.
Néanmoins, ils ont une bonne connaissance des manuscrits de ‘Hassidout et ils pourront sûrement vous aider, si vous avez besoin de leurs compétences et de leur expertise. Vous pouvez vous adresser directement à eux, par l’intermédiaire de notre bureau, à Paris(6). Un jeune homme possédant cette compétence est le Rav et ‘Hassid, Rav Hillel Pevsner(7).
Il convient, cependant, en l’occurrence, de demander à vos connaissances qui ont une influence, à Paris, de les contacter. Peut-être serait-il bon, dans un premier temps, d’envoyer ces manuscrits ici. Les démarches pourraient s’en trouver facilitées si vous expliquez que le centre de la ‘Hassidout ‘Habad, à laquelle ces manuscrits appartiennent, se trouvent ici.
Comme chaque année, un fascicule(8) a été édité, à l’occasion de la fête du 12 et 13 Tamouz. Vous le trouverez ci-joint. Il vous intéressera sûrement.
Je conclus ma lettre en vous exprimant mes respects, en vous saluant et en vous souhaitant une bonne santé, de même qu’aux membres de votre famille.
Votre parent,
N. B. : Vous mentionnez, dans votre lettre, le dicton suivant : "Tout retard est pour le bien". Je recherche, depuis longtemps, son origine dans la littérature juive. Pour l’heure, je ne l’ai pas trouvée.
Notes
(1) Le Rav A. Y. Hen, de Paris. Voir, à son propos, la lettre n°542.
(2) A l’occasion du décès du frère du Rabbi. Voir, à ce propos, la note, à la fin de la lettre n°1566.
(3) Elle n’a pas connaissance du décès de son fils.
(4) Ayant appartenu au grand Rav et ‘Hassid, le Rav David Tsvi Hen, père du Rav Avraham Yehouda Hen. Voir, à ce propos, la lettre n°1749.
(5) De faire les démarches pour obtenir leur restitution.
(6) Le bureau d’aide aux réfugiés, dirigé par le Rav Binyamin Gorodetski, à Paris.
(7) Voir, à son propos, la lettre n°1749.
(8) D’enseignements du précédent Rabbi.