Lettre n° 1722
Par la grâce de D.ieu,
22 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nathan David(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du jour propice de la délivrance, le 13 Tamouz. Vous me demandez si vous devez diffuser l’avis de ceux qui interdisent l’usage des Tsitsit faits à la machine(2). Plusieurs, parmi les grands Sages des dernières générations, adoptent une position rigoriste, en la matière, comme l’établissent les responsa Divreï ‘Haïm du Maharam Ach et le Ma’hazé Avraham. Pour autant, d’autres Sages ne partagent pas cet avis et les permettent. Vous consulterez les responsa ‘Hessed Le Avraham et le Tiféret Yossef.
La position qu’il convient d’adopter concrètement est celle du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi(3). A mon avis, il n’y a donc pas lieu de trancher cette controverse, d’autant que la décision du Rabbi avait été donnée pour recevoir une application effective(4).
Bien plus, on pourrait penser que votre annonce n’a d’autre but que de prôner une attitude rigoriste et qu’il en est donc de même pour tout ce que vous pourriez être conduit à expliquer par ailleurs. Votre avis serait donc uniquement réservé à ceux qui entendent adopter le meilleur comportement.
Je vous joins une note qui a été éditée pour les jours propices de la libération du 12-13 Tamouz. Vous possédez sûrement le fascicule qui a été édité pour cette même occasion et vous le mettrez à la disposition du plus grand nombre.
Avec ma bénédiction pour un été en bonne santé, physiquement et moralement,
Notes
(1) Le Rav N. D. Lesser. Voir, à son propos, la lettre n°891.
(2) Et, non à la main.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°407 et 1800.
(4) Et non uniquement dans le but d’introduire un commentaire sur le sujet.
22 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Nathan David(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du jour propice de la délivrance, le 13 Tamouz. Vous me demandez si vous devez diffuser l’avis de ceux qui interdisent l’usage des Tsitsit faits à la machine(2). Plusieurs, parmi les grands Sages des dernières générations, adoptent une position rigoriste, en la matière, comme l’établissent les responsa Divreï ‘Haïm du Maharam Ach et le Ma’hazé Avraham. Pour autant, d’autres Sages ne partagent pas cet avis et les permettent. Vous consulterez les responsa ‘Hessed Le Avraham et le Tiféret Yossef.
La position qu’il convient d’adopter concrètement est celle du Rabbi Rachab, père de mon beau-père, le Rabbi(3). A mon avis, il n’y a donc pas lieu de trancher cette controverse, d’autant que la décision du Rabbi avait été donnée pour recevoir une application effective(4).
Bien plus, on pourrait penser que votre annonce n’a d’autre but que de prôner une attitude rigoriste et qu’il en est donc de même pour tout ce que vous pourriez être conduit à expliquer par ailleurs. Votre avis serait donc uniquement réservé à ceux qui entendent adopter le meilleur comportement.
Je vous joins une note qui a été éditée pour les jours propices de la libération du 12-13 Tamouz. Vous possédez sûrement le fascicule qui a été édité pour cette même occasion et vous le mettrez à la disposition du plus grand nombre.
Avec ma bénédiction pour un été en bonne santé, physiquement et moralement,
Notes
(1) Le Rav N. D. Lesser. Voir, à son propos, la lettre n°891.
(2) Et, non à la main.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°407 et 1800.
(4) Et non uniquement dans le but d’introduire un commentaire sur le sujet.