Lettre n° 1735
Par la grâce de D.ieu,
24 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du lundi 21 Tamouz, sollicitant une bénédiction pour vous et pour tous les membres de votre famille. J’ai été particulièrement satisfait d’apprendre que D.ieu a permis que votre fille se fiance, de manière positive, en un moment bon et fructueux. Ils bâtiront l’un et l’autre un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot.
Je voudrais vous répéter encore une fois ce que je vous ai dit oralement. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que mon beau-père, le Rabbi cite, à juste titre, un dicton, au nom de son père : "Un effort n’est jamais vain", même s’il émane de personnes qui n’ont aucun lien de parenté et, a fortiori, s’il est le fait des parents envers leurs enfants.
Un mérite sacré incombe donc à vous-même et à votre épouse, celui de persuader votre fille qu’elle doit baser son foyer sur la Torah et les Mitsvot et avant tout pour ce qui la concerne personnellement, allumage des bougies du Chabbat et des fêtes, Cacherout de la nourriture et de la boisson, respect de la pureté familiale.
Je sais ce que prétendent les parents en Amérique, de façon générale et aux Etats Unis, en particulier. Qui sait si une telle entreprise sera fructueuse? Et, par quel angle faut-il l’aborder? Mais, il est sûrement inutile d’expliquer à quelqu’un comme vous à quel point toutes ces objections sont insignifiantes par rapport au respect de la Torah et des Mitsvot, en particulier de la pureté familiale, sur laquelle la maison d’Israël repose.
Avec l’effort et l’application nécessaires, vous trouverez le moyen d’agir, personnellement ou bien par l’intermédiaire de personnes qui sauront influencer votre fille en ce sens. Je m’en remets à la sentence de nos Sages, qui dit: "Heureuse est la génération dans laquelle les grands écoutent les petits". En conséquence, j’ai bon espoir que vous accepterez mon avis et influencerez votre fille. J’espère aussi que vous pourrez constater la réussite de vos yeux.
Vous lui ferez remarquer, en particulier, qu’elle a pu se fiancer après que son nom ait été mentionné, à plusieurs reprises, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Je m’en remets à votre appréciation, d’autant que vous êtes personnellement concerné et vous saurez donc trouver les mots justes.
Avec ma bénédiction de bonne santé, morale et physique à la fois, pour vous et pour tous les membres de votre famille,
N. B. : Je vous joins la note qui a été éditée à l’occasion des jours propices de la libération du 12-13 Tamouz. Vous la mettrez sûrement à la disposition du plus grand nombre. Elle est d’actualité tout au long de l’année et elle enseigne la manière de servir D.ieu, sans s’affecter des voiles et des obstacles. C’est de la sorte que l’on peut faire disparaître ce voile et accroître la lumière dans ses quatre coudées.
24 Tamouz 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du lundi 21 Tamouz, sollicitant une bénédiction pour vous et pour tous les membres de votre famille. J’ai été particulièrement satisfait d’apprendre que D.ieu a permis que votre fille se fiance, de manière positive, en un moment bon et fructueux. Ils bâtiront l’un et l’autre un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot.
Je voudrais vous répéter encore une fois ce que je vous ai dit oralement. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que mon beau-père, le Rabbi cite, à juste titre, un dicton, au nom de son père : "Un effort n’est jamais vain", même s’il émane de personnes qui n’ont aucun lien de parenté et, a fortiori, s’il est le fait des parents envers leurs enfants.
Un mérite sacré incombe donc à vous-même et à votre épouse, celui de persuader votre fille qu’elle doit baser son foyer sur la Torah et les Mitsvot et avant tout pour ce qui la concerne personnellement, allumage des bougies du Chabbat et des fêtes, Cacherout de la nourriture et de la boisson, respect de la pureté familiale.
Je sais ce que prétendent les parents en Amérique, de façon générale et aux Etats Unis, en particulier. Qui sait si une telle entreprise sera fructueuse? Et, par quel angle faut-il l’aborder? Mais, il est sûrement inutile d’expliquer à quelqu’un comme vous à quel point toutes ces objections sont insignifiantes par rapport au respect de la Torah et des Mitsvot, en particulier de la pureté familiale, sur laquelle la maison d’Israël repose.
Avec l’effort et l’application nécessaires, vous trouverez le moyen d’agir, personnellement ou bien par l’intermédiaire de personnes qui sauront influencer votre fille en ce sens. Je m’en remets à la sentence de nos Sages, qui dit: "Heureuse est la génération dans laquelle les grands écoutent les petits". En conséquence, j’ai bon espoir que vous accepterez mon avis et influencerez votre fille. J’espère aussi que vous pourrez constater la réussite de vos yeux.
Vous lui ferez remarquer, en particulier, qu’elle a pu se fiancer après que son nom ait été mentionné, à plusieurs reprises, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi. Je m’en remets à votre appréciation, d’autant que vous êtes personnellement concerné et vous saurez donc trouver les mots justes.
Avec ma bénédiction de bonne santé, morale et physique à la fois, pour vous et pour tous les membres de votre famille,
N. B. : Je vous joins la note qui a été éditée à l’occasion des jours propices de la libération du 12-13 Tamouz. Vous la mettrez sûrement à la disposition du plus grand nombre. Elle est d’actualité tout au long de l’année et elle enseigne la manière de servir D.ieu, sans s’affecter des voiles et des obstacles. C’est de la sorte que l’on peut faire disparaître ce voile et accroître la lumière dans ses quatre coudées.