Lettre n° 1746
Par la grâce de D.ieu,
1er Mena’hem Av 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 23 Tamouz, ainsi que la précédente. J’y ai appris avec plaisir que vous avez adopté une activité pédagogique, d’une manière positive. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite.
Vous me dites être consciente que la situation peut être et doit être bien meilleure qu’à l’heure actuelle. Vous savez ce que disent nos Sages : "Celui qui te dit avoir fait des efforts et avoir connu le succès, crois-le". Vous connaissez également le dicton de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel une action positive est préférable à mille plaintes. Il en est de même pour ce qui fait l’objet de notre propos.
Dans toute la mesure du possible, chacun doit donc se parfaire sans cesse. Par ailleurs, on ne doit pas cesser son travail jusqu’à parvenir à la plus haute perfection qu’il permet. Il faut faire l’un et l’autre, surtout quand il s’agit d’éducation, qui concerne, chaque jour, les âmes de dizaines d’enfants juifs. On ne peut pas interrompre une telle activité.
Comme vous le savez, l’Admour Hazaken affirme, au début du Torah Or, que le don de la Tsédaka, matérielle ou spirituelle, permet d’avoir un cerveau et un cœur mille fois plus affinés.
Avec ma bénédiction de réussite, dans votre mission sacrée, qui vous permettra également d’obtenir une bénédiction accrue en tous vos besoins personnels,
1er Mena’hem Av 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai bien reçu votre lettre du 23 Tamouz, ainsi que la précédente. J’y ai appris avec plaisir que vous avez adopté une activité pédagogique, d’une manière positive. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite.
Vous me dites être consciente que la situation peut être et doit être bien meilleure qu’à l’heure actuelle. Vous savez ce que disent nos Sages : "Celui qui te dit avoir fait des efforts et avoir connu le succès, crois-le". Vous connaissez également le dicton de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel une action positive est préférable à mille plaintes. Il en est de même pour ce qui fait l’objet de notre propos.
Dans toute la mesure du possible, chacun doit donc se parfaire sans cesse. Par ailleurs, on ne doit pas cesser son travail jusqu’à parvenir à la plus haute perfection qu’il permet. Il faut faire l’un et l’autre, surtout quand il s’agit d’éducation, qui concerne, chaque jour, les âmes de dizaines d’enfants juifs. On ne peut pas interrompre une telle activité.
Comme vous le savez, l’Admour Hazaken affirme, au début du Torah Or, que le don de la Tsédaka, matérielle ou spirituelle, permet d’avoir un cerveau et un cœur mille fois plus affinés.
Avec ma bénédiction de réussite, dans votre mission sacrée, qui vous permettra également d’obtenir une bénédiction accrue en tous vos besoins personnels,