Lettre n° 1759
Par la grâce de D.ieu,
7 Mena’hem Av 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tamouz, qu’accompagnait une demande de bénédiction. J’en donnerai lecture, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Vous m’indiquez pour quelle raison votre œuvre de diffusion de la ‘Hassidout est affaiblie. Même si les raisons que vous invoquez sont exactes, celles-ci importent uniquement lorsqu’il est question de récompense ou de punition. En revanche, on n’obtient pas le résultat escompté par des justifications. Chaque jour qui passe et, a fortiori, chaque semaine, chaque mois, chaque année, chaque septennat sont des pertes que l’on ne retrouvera plus. Ces jours sont imparfaits et ils ont perdu leur intégrité.
Il est sans doute inutile d’en dire plus, car, de deux choses l’une, ou bien ces propos feront de l’effet et ces quelques lignes seront suffisantes, ou bien ils resteront sans suite et, dès lors, à quoi bon écrire une page de plus?
Tout dépend, en définitive, de votre détermination, puisque vous en possédez la capacité. Que D.ieu fasse que vous l’utilisiez au plus vite. Très prochainement, vous ressentirez le manque qui vous est causé de cette façon. Selon un dicton établi, en effet, si l’on ressent qu’une situation n’est pas ce qu’elle devrait être et qu’il faut la corriger, c’est là, d’ores et déjà, le début de sa réparation.
Vous m’écrivez que vous avez demandé à un élève de la Yechiva de vous seconder dans votre action. Or, celui-ci, à son tour, m’écrit et se plaint d’être seul, me donne d’autres raisons pour expliquer son inaction. Vous pouvez lui dire, de ma part, que je vous ai écrit, à son sujet. J’ai bon espoir, si celui-ci est capable de diffuser la ‘Hassidout, que ce rappel suffira pour qu’il poursuive son action.
Vous ne dites rien, dans votre lettre, de l’état de santé des membres de votre famille. Sans doute tous vont-ils bien. D.ieu fasse que vous orientez votre action, au plus vite, dans le sens qui vient d’être dit.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
7 Mena’hem Av 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 25 Tamouz, qu’accompagnait une demande de bénédiction. J’en donnerai lecture, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
Vous m’indiquez pour quelle raison votre œuvre de diffusion de la ‘Hassidout est affaiblie. Même si les raisons que vous invoquez sont exactes, celles-ci importent uniquement lorsqu’il est question de récompense ou de punition. En revanche, on n’obtient pas le résultat escompté par des justifications. Chaque jour qui passe et, a fortiori, chaque semaine, chaque mois, chaque année, chaque septennat sont des pertes que l’on ne retrouvera plus. Ces jours sont imparfaits et ils ont perdu leur intégrité.
Il est sans doute inutile d’en dire plus, car, de deux choses l’une, ou bien ces propos feront de l’effet et ces quelques lignes seront suffisantes, ou bien ils resteront sans suite et, dès lors, à quoi bon écrire une page de plus?
Tout dépend, en définitive, de votre détermination, puisque vous en possédez la capacité. Que D.ieu fasse que vous l’utilisiez au plus vite. Très prochainement, vous ressentirez le manque qui vous est causé de cette façon. Selon un dicton établi, en effet, si l’on ressent qu’une situation n’est pas ce qu’elle devrait être et qu’il faut la corriger, c’est là, d’ores et déjà, le début de sa réparation.
Vous m’écrivez que vous avez demandé à un élève de la Yechiva de vous seconder dans votre action. Or, celui-ci, à son tour, m’écrit et se plaint d’être seul, me donne d’autres raisons pour expliquer son inaction. Vous pouvez lui dire, de ma part, que je vous ai écrit, à son sujet. J’ai bon espoir, si celui-ci est capable de diffuser la ‘Hassidout, que ce rappel suffira pour qu’il poursuive son action.
Vous ne dites rien, dans votre lettre, de l’état de santé des membres de votre famille. Sans doute tous vont-ils bien. D.ieu fasse que vous orientez votre action, au plus vite, dans le sens qui vient d’être dit.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,