Lettre n° 1807
Par la grâce de D.ieu,
Premier jour de Roch ‘Hodech Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre fonction de Cho’het. J’ai été particulièrement satisfait de constater que vous recherchez, par tous les moyens possibles, à fixer des cours pour les jeunes gens. Vous vous demandez si votre maîtrise imparfaite de la langue du pays vous permettra de le faire. L’expérience a fait la preuve qu’à partir du moment où l’on comprend bien son interlocuteur, une connaissance sommaire d’une langue suffit très largement.
Mais, pour cela, il ne faut pas se décourager du fait des imperfections de son langage. En effet, la finalité de votre propos est particulièrement élevée et il est donc certain que vous bénéficiez de l’aide divine.
J’espère qu’à la réception de la présente lettre, ce projet se sera déjà concrétisé ou, tout au moins, sera proche de l’être. Il est sans doute inutile de vous préciser que le but d’un tel cours est de conduire ses participants à la pratique effective des Mitsvot.
Vous m’écrivez qu’une partie de ces personnes récite le Kaddish. Vous commencerez donc par leur expliquer la nécessité de mettre les Tefilin. Vous leur montrerez qu’il est paradoxal de dire "que soit glorifié et sanctifié le grand Nom", d’une part, et de ne pas accepter la royauté de D.ieu, d’autre part.
Je vous joins les propos tenus devant les élèves de la Yechiva délégués par le Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h, qui concernent, en réalité, chaque Juif et, en particulier, ceux qui évoluent dans un environnement auxquels ils n’ont pas été habitués. En effet, chaque âme juive a connu l’élévation, au sein de la Pensée de D.ieu. La ‘Hassidout précise même qu’elle y occupe le stade le plus élevé. Puis, elle est descendue, d’une cime élevée vers une fosse profonde, dans ce monde matériel, livré aux forces du mal, dans lequel les impies sont puissants, comme le dit le Ets ‘Haïm, cité à la fin du sixième chapitre du Tanya.
Vous ne me dites pas quelle est la destination du montant joint à votre lettre. Je l’ai donc transmis au bureau des actions discrètes, ce qui est l’une des formes les plus élevées que peut prendre la Tsédaka.
Avec ma bénédiction pour que vous subveniez à vos besoins, matériellement et spirituellement, en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Premier jour de Roch ‘Hodech Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous me décrivez votre fonction de Cho’het. J’ai été particulièrement satisfait de constater que vous recherchez, par tous les moyens possibles, à fixer des cours pour les jeunes gens. Vous vous demandez si votre maîtrise imparfaite de la langue du pays vous permettra de le faire. L’expérience a fait la preuve qu’à partir du moment où l’on comprend bien son interlocuteur, une connaissance sommaire d’une langue suffit très largement.
Mais, pour cela, il ne faut pas se décourager du fait des imperfections de son langage. En effet, la finalité de votre propos est particulièrement élevée et il est donc certain que vous bénéficiez de l’aide divine.
J’espère qu’à la réception de la présente lettre, ce projet se sera déjà concrétisé ou, tout au moins, sera proche de l’être. Il est sans doute inutile de vous préciser que le but d’un tel cours est de conduire ses participants à la pratique effective des Mitsvot.
Vous m’écrivez qu’une partie de ces personnes récite le Kaddish. Vous commencerez donc par leur expliquer la nécessité de mettre les Tefilin. Vous leur montrerez qu’il est paradoxal de dire "que soit glorifié et sanctifié le grand Nom", d’une part, et de ne pas accepter la royauté de D.ieu, d’autre part.
Je vous joins les propos tenus devant les élèves de la Yechiva délégués par le Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h, qui concernent, en réalité, chaque Juif et, en particulier, ceux qui évoluent dans un environnement auxquels ils n’ont pas été habitués. En effet, chaque âme juive a connu l’élévation, au sein de la Pensée de D.ieu. La ‘Hassidout précise même qu’elle y occupe le stade le plus élevé. Puis, elle est descendue, d’une cime élevée vers une fosse profonde, dans ce monde matériel, livré aux forces du mal, dans lequel les impies sont puissants, comme le dit le Ets ‘Haïm, cité à la fin du sixième chapitre du Tanya.
Vous ne me dites pas quelle est la destination du montant joint à votre lettre. Je l’ai donc transmis au bureau des actions discrètes, ce qui est l’une des formes les plus élevées que peut prendre la Tsédaka.
Avec ma bénédiction pour que vous subveniez à vos besoins, matériellement et spirituellement, en vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,