Lettre n° 1808
Par la grâce de D.ieu,
1er Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre rédigée le jour au cours duquel, par deux fois, fut dit le mot "bon", lors de la création(1). Vous parlez de vous-même et de votre épouse. Vous demandez un conseil et sollicitez une bénédiction.
Lorsque je me rendrai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai vos deux noms, afin que D.ieu vous accorde une bonne santé, la largesse matérielle et qu’Il réjouisse prochainement vos cœurs en vous accordant un enfant.
Pour recevoir les bénédictions de D.ieu, on doit disposer de réceptacles appropriés, qui appartiennent à la Torah et aux Mitsvot. Le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav Ben Tsion Chem Tov, émissaire des Sages(2), m’a précisé que vous avez adopté un bon comportement et j’en ai été satisfait.
Je voudrais donc vous répéter encore une fois que vous devez donner, chaque matin, quelques pennies à la Tsédaka. Votre épouse donnera également de la Tsédaka chaque fois qu’elle allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Vous lui transmettrez aussi qu’elle doit raffermir sa confiance en D.ieu, Qui a créé un si grand monde et le dirige. A n’en pas douter, Sa divine Providence protège chacun d’entre vous, vous permet de vous améliorer.
Votre épouse doit s’en remettre à la Torah et au Choul’han Arou’h. Elle ne doit pas adopter une position plus rigoriste ou plus légère que celle qui y est définie. Un comportement strictement conforme au Choul’han Arou’h est un bon réceptacle pour contenir les bénédictions de D.ieu, en tous les besoins que l’on éprouve.
Vous devez également vous assurer que les Mezouzot de votre maison soient cachères, en particulier en Elloul, mois de la miséricorde. Chacun d’entre vous, ou bien vous et votre épouse, devez parler, pendant quelques minutes, de la nécessité de s’en remettre à D.ieu.
J’espère que, très prochainement, vous pourrez m’annoncer une bonne nouvelle. Vous me direz que vous et votre épouse allez bien, que vous avez raffermi votre confiance en D.ieu et que vous observez Sa Providence, la manière dont Il vous dirige, pour le bien, matériellement et spirituellement.
En vous souhaitant d’être inscrits et scellés pour une bonne année, dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le mardi.
(2) A Londres.
1er Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre rédigée le jour au cours duquel, par deux fois, fut dit le mot "bon", lors de la création(1). Vous parlez de vous-même et de votre épouse. Vous demandez un conseil et sollicitez une bénédiction.
Lorsque je me rendrai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai vos deux noms, afin que D.ieu vous accorde une bonne santé, la largesse matérielle et qu’Il réjouisse prochainement vos cœurs en vous accordant un enfant.
Pour recevoir les bénédictions de D.ieu, on doit disposer de réceptacles appropriés, qui appartiennent à la Torah et aux Mitsvot. Le Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux besoins communautaires, Rav Ben Tsion Chem Tov, émissaire des Sages(2), m’a précisé que vous avez adopté un bon comportement et j’en ai été satisfait.
Je voudrais donc vous répéter encore une fois que vous devez donner, chaque matin, quelques pennies à la Tsédaka. Votre épouse donnera également de la Tsédaka chaque fois qu’elle allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Vous lui transmettrez aussi qu’elle doit raffermir sa confiance en D.ieu, Qui a créé un si grand monde et le dirige. A n’en pas douter, Sa divine Providence protège chacun d’entre vous, vous permet de vous améliorer.
Votre épouse doit s’en remettre à la Torah et au Choul’han Arou’h. Elle ne doit pas adopter une position plus rigoriste ou plus légère que celle qui y est définie. Un comportement strictement conforme au Choul’han Arou’h est un bon réceptacle pour contenir les bénédictions de D.ieu, en tous les besoins que l’on éprouve.
Vous devez également vous assurer que les Mezouzot de votre maison soient cachères, en particulier en Elloul, mois de la miséricorde. Chacun d’entre vous, ou bien vous et votre épouse, devez parler, pendant quelques minutes, de la nécessité de s’en remettre à D.ieu.
J’espère que, très prochainement, vous pourrez m’annoncer une bonne nouvelle. Vous me direz que vous et votre épouse allez bien, que vous avez raffermi votre confiance en D.ieu et que vous observez Sa Providence, la manière dont Il vous dirige, pour le bien, matériellement et spirituellement.
En vous souhaitant d’être inscrits et scellés pour une bonne année, dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le mardi.
(2) A Londres.