Lettre n° 1829
Par la grâce de D.ieu,
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du mardi de la Parchat Choftim. J’étais déjà un peu inquiet, n’ayant pas eu de vos nouvelles depuis bien longtemps.
Vous m’annoncez la Bar Mitsva de votre fils et je vous adresse, à ce propos, ma bénédiction. Ayant treize ans, l’âge auquel on est astreint à la pratique des Mitsvot, il atteindra quinze ans, lorsque l’on accède à l’étude de la Guemara. Vous et votre épouse concevrez de lui beaucoup de satisfaction, une satisfaction juive et ‘hassidique.
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages, selon laquelle "celui qui te dit avoir fourni des efforts et avoir connu le succès, crois-le. Celui qui te dit n’avoir fourni aucun effort et avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas". Vous avez donc le mérite et l’obligation de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour que votre fils soit un ‘Hassid. Pour s’engager dans cette direction, il devra "s’exiler en un lieu de Torah", c’est-à-dire poursuivre ses études dans une Yechiva où l’on étudie la Torah en se pénétrant de crainte de D.ieu.
Vous concluez votre lettre en signalant que vous êtes également officiant. Il est sûrement inutile de vous rappeler la pratique positive des Juifs et même des Grands de notre peuple assumant une telle fonction, qui consiste à réviser, avant Roch Hachana et Yom Kippour, les prières et les cantiques, avec la signification de ces textes et quelques Midrachim de nos Sages.
Bien plus, vous m’écrivez que vous êtes issu d’une famille illustre et vous me décrivez, dans votre lettre, votre relation avec le ‘Hozé de Lublin. Vous devez donc étudier également des commentaires qui sont donnés dans l’esprit de la ‘Hassidout.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année,
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre du mardi de la Parchat Choftim. J’étais déjà un peu inquiet, n’ayant pas eu de vos nouvelles depuis bien longtemps.
Vous m’annoncez la Bar Mitsva de votre fils et je vous adresse, à ce propos, ma bénédiction. Ayant treize ans, l’âge auquel on est astreint à la pratique des Mitsvot, il atteindra quinze ans, lorsque l’on accède à l’étude de la Guemara. Vous et votre épouse concevrez de lui beaucoup de satisfaction, une satisfaction juive et ‘hassidique.
Vous connaissez l’affirmation de nos Sages, selon laquelle "celui qui te dit avoir fourni des efforts et avoir connu le succès, crois-le. Celui qui te dit n’avoir fourni aucun effort et avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas". Vous avez donc le mérite et l’obligation de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour que votre fils soit un ‘Hassid. Pour s’engager dans cette direction, il devra "s’exiler en un lieu de Torah", c’est-à-dire poursuivre ses études dans une Yechiva où l’on étudie la Torah en se pénétrant de crainte de D.ieu.
Vous concluez votre lettre en signalant que vous êtes également officiant. Il est sûrement inutile de vous rappeler la pratique positive des Juifs et même des Grands de notre peuple assumant une telle fonction, qui consiste à réviser, avant Roch Hachana et Yom Kippour, les prières et les cantiques, avec la signification de ces textes et quelques Midrachim de nos Sages.
Bien plus, vous m’écrivez que vous êtes issu d’une famille illustre et vous me décrivez, dans votre lettre, votre relation avec le ‘Hozé de Lublin. Vous devez donc étudier également des commentaires qui sont donnés dans l’esprit de la ‘Hassidout.
Avec ma bénédiction afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année,