Lettre n° 1831
Par la grâce de D.ieu,
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 26 Mena’hem Av, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait et dont je donnerai lecture, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
J’ai lu avec satisfaction, dans votre lettre, que vous avez augmenté votre temps d’étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Vous prendriez une bonne initiative en instaurant également une étude de la ‘Hassidout avant la prière du matin.
Vous me dites que votre faible santé fait obstacle à votre avancement spirituel. Cela est vrai si vous faites allusion à la santé morale. En revanche, s’il s’agit de faiblesse physique, je n’accepte pas votre point de vue. Que D.ieu fasse que l’on puisse adopter toutes les pratiques favorisant la spiritualité qui ne remettent pas en cause l’intégrité du corps. Cela serait bien suffisant.
Car, nos Sages soulignent que les attentes de D.ieu sont à la mesure des forces dont les Juifs disposent. Et, le Saint béni soit-Il tranche Lui-même, dans notre sainte Torah, que le corps doit être en bonne santé. Ceci est partie intégrante de Son service.
Vous m’interrogez sur la manière de réparer une faute. Tout d’abord, vous apprendrez par cœur quelques Psaumes, quelques chapitres de la Michna et du Tanya. Vous les réciterez ainsi lorsque vous marcherez dans la rue, chaque fois qu’il sera permis de le faire. Vous le ferez au moins par la pensée.
De plus, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka, jusqu’au 19 Kislev prochain. De façon générale, vous multiplierez les mots de la Torah et de la prière.
Avec ma bénédiction, afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année et que vous vous installiez de manière convenable, matériellement et spirituellement,
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 26 Mena’hem Av, avec la demande de bénédiction qu’elle contenait et dont je donnerai lecture, en un moment propice, près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi.
J’ai lu avec satisfaction, dans votre lettre, que vous avez augmenté votre temps d’étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Vous prendriez une bonne initiative en instaurant également une étude de la ‘Hassidout avant la prière du matin.
Vous me dites que votre faible santé fait obstacle à votre avancement spirituel. Cela est vrai si vous faites allusion à la santé morale. En revanche, s’il s’agit de faiblesse physique, je n’accepte pas votre point de vue. Que D.ieu fasse que l’on puisse adopter toutes les pratiques favorisant la spiritualité qui ne remettent pas en cause l’intégrité du corps. Cela serait bien suffisant.
Car, nos Sages soulignent que les attentes de D.ieu sont à la mesure des forces dont les Juifs disposent. Et, le Saint béni soit-Il tranche Lui-même, dans notre sainte Torah, que le corps doit être en bonne santé. Ceci est partie intégrante de Son service.
Vous m’interrogez sur la manière de réparer une faute. Tout d’abord, vous apprendrez par cœur quelques Psaumes, quelques chapitres de la Michna et du Tanya. Vous les réciterez ainsi lorsque vous marcherez dans la rue, chaque fois qu’il sera permis de le faire. Vous le ferez au moins par la pensée.
De plus, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka, jusqu’au 19 Kislev prochain. De façon générale, vous multiplierez les mots de la Torah et de la prière.
Avec ma bénédiction, afin que vous soyez inscrit et scellé pour une bonne année et que vous vous installiez de manière convenable, matériellement et spirituellement,