Lettre n° 1834
Par la grâce de D.ieu,
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Mena’hem Mendel(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
Le Baal Chem Tov enseigne que chaque détail, même le plus insignifiant, est un effet de la divine Providence. Je saisirai donc l’occasion, puisque c’est la première fois que vous m’écrivez, pour vous rappeler et vous souligner à quel point il est important que chacun et chacune agisse concrètement, par tous les moyens possibles, dans son entourage, afin de rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Nos Sages disent, en effet, dans le Sifra, au début de la Parchat Tsav, que l’on conseille l’empressement seulement à ceux qui possèdent naturellement cette qualité.
On peut vérifier concrètement à quel point les Juifs sont prêts à recevoir un tel message. Tout dépend donc de celui qui le transmet et nos Sages soulignent que les propos émanant du cœur pénètrent dans le cœur.
Bien plus, votre signature précise que vous êtes Cho’het. Or, au sens le plus simple, la Che’hita prépare la chair d’un animal ou d’une volaille pour qu’elle devienne l’aliment d’un homme, qui se confondra à sa chair et à son sang, s’élevant ainsi du stade animal vers le règne humain(2). Telle est également votre mission morale. Vous devez attirer l’âme animale des Juifs et des Juives de votre entourage, les préparer à s’élever vers le stade de l’homme qui est bâti à l’image de D.ieu, comme l’indique le Chneï Lou’hot Haberit, à la page 20b, cité par le Assara Maamarot, au discours Em Kol ‘Haï, deuxième partie, chapitre 33.
En vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav M. M. Zukerman.
(2) Voir la lettre précédente.
7 Elloul 5712,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Mena’hem Mendel(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
Le Baal Chem Tov enseigne que chaque détail, même le plus insignifiant, est un effet de la divine Providence. Je saisirai donc l’occasion, puisque c’est la première fois que vous m’écrivez, pour vous rappeler et vous souligner à quel point il est important que chacun et chacune agisse concrètement, par tous les moyens possibles, dans son entourage, afin de rapprocher les cœurs juifs de notre Père Qui se trouve dans les cieux. Nos Sages disent, en effet, dans le Sifra, au début de la Parchat Tsav, que l’on conseille l’empressement seulement à ceux qui possèdent naturellement cette qualité.
On peut vérifier concrètement à quel point les Juifs sont prêts à recevoir un tel message. Tout dépend donc de celui qui le transmet et nos Sages soulignent que les propos émanant du cœur pénètrent dans le cœur.
Bien plus, votre signature précise que vous êtes Cho’het. Or, au sens le plus simple, la Che’hita prépare la chair d’un animal ou d’une volaille pour qu’elle devienne l’aliment d’un homme, qui se confondra à sa chair et à son sang, s’élevant ainsi du stade animal vers le règne humain(2). Telle est également votre mission morale. Vous devez attirer l’âme animale des Juifs et des Juives de votre entourage, les préparer à s’élever vers le stade de l’homme qui est bâti à l’image de D.ieu, comme l’indique le Chneï Lou’hot Haberit, à la page 20b, cité par le Assara Maamarot, au discours Em Kol ‘Haï, deuxième partie, chapitre 33.
En vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
Notes
(1) Le Rav M. M. Zukerman.
(2) Voir la lettre précédente.