Lettre n° 1835
Par la grâce de D.ieu,
10 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, ta lettre, qui n’était pas datée. Tu me racontes comment les années de la guerre se sont passées et les miracles que D.ieu a accomplis pour toi. Je suis particulièrement satisfait de voir que tu as su discerner ces miracles évidents et cette Providence divine. J’espère que tu en conserveras la leçon tout au long de ta vie, qui comptera de longs jours et de bonnes années. Tu te souviendras toujours et tu auras, en permanence, devant tes yeux le fait que D.ieu dirige non seulement le monde, dans sa globalité, mais également chaque détail de ce qui nous concerne, à chaque étape de la vie.
Il faut donc prendre la décision et avoir pleinement conscience que le seul moyen d’obtenir le bonheur véritable est l’étude de la Torah, la pratique des Mitsvot avec crainte de D.ieu. Que D.ieu te vienne en aide pour que tu puisses aisément mettre tes bonnes décisions en pratique, dans ton existence quotidienne.
Tu me demandes si tu dois poursuivre les études que tu as commencées ou bien prendre une exploitation agricole, à Kfar ‘Habad.
Voici mon avis. Tu me dis que tu as commencé ces études depuis quelques mois déjà. Tu dois donc les poursuivre jusqu'à leur terme. Tu t’installeras à Kfar ‘Habad. Si, dans ce village, tu ne trouves pas suffisamment de travail dans ce domaine, tu feras également l’acquisition d’une exploitation agricole. Ta spécialité sera alors une activité complémentaire.
En tout état de cause, tu dois résider parmi les ‘Hassidim, au Kfar. C’est ainsi que tu connaîtras la réussite, matérielle et spirituelle.
Tu prends sans doute part aux enseignements publics de la Torah, au Kfar. Tu respectes également les études instaurées par mon beau-père, le Rabbi, celles du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya, qui sont bien connues.
En te souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année,
10 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, ta lettre, qui n’était pas datée. Tu me racontes comment les années de la guerre se sont passées et les miracles que D.ieu a accomplis pour toi. Je suis particulièrement satisfait de voir que tu as su discerner ces miracles évidents et cette Providence divine. J’espère que tu en conserveras la leçon tout au long de ta vie, qui comptera de longs jours et de bonnes années. Tu te souviendras toujours et tu auras, en permanence, devant tes yeux le fait que D.ieu dirige non seulement le monde, dans sa globalité, mais également chaque détail de ce qui nous concerne, à chaque étape de la vie.
Il faut donc prendre la décision et avoir pleinement conscience que le seul moyen d’obtenir le bonheur véritable est l’étude de la Torah, la pratique des Mitsvot avec crainte de D.ieu. Que D.ieu te vienne en aide pour que tu puisses aisément mettre tes bonnes décisions en pratique, dans ton existence quotidienne.
Tu me demandes si tu dois poursuivre les études que tu as commencées ou bien prendre une exploitation agricole, à Kfar ‘Habad.
Voici mon avis. Tu me dis que tu as commencé ces études depuis quelques mois déjà. Tu dois donc les poursuivre jusqu'à leur terme. Tu t’installeras à Kfar ‘Habad. Si, dans ce village, tu ne trouves pas suffisamment de travail dans ce domaine, tu feras également l’acquisition d’une exploitation agricole. Ta spécialité sera alors une activité complémentaire.
En tout état de cause, tu dois résider parmi les ‘Hassidim, au Kfar. C’est ainsi que tu connaîtras la réussite, matérielle et spirituelle.
Tu prends sans doute part aux enseignements publics de la Torah, au Kfar. Tu respectes également les études instaurées par mon beau-père, le Rabbi, celles du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya, qui sont bien connues.
En te souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année,