Lettre n° 1846
Par la grâce de D.ieu,
14 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu votre demande de bénédiction pour monsieur... Lorsque je me rendrai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai son nom pour qu’il ait une prompte guérison. Que D.ieu fasse que vous puissiez m’annoncer la bonne nouvelle de l’amélioration de son état.
Vous lui demanderez de placer près de son lit une Mezouza vérifiée et cachère. Elle sera, bien sûr, placée à l’intérieur de deux étuis, puisqu’il se trouve à l’hôpital. Il fera également vérifier les Mezouzot de sa maison, ses Tefilin et les Tsitsit du grand et du petit Talith.
Sans en faire le vœu, il s’engagera à adopter les trois études qui concernent chacun et qui ont été instaurées par mon beau-père, le Rabbi. Elles portent, comme vous le savez, sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya.
S’il lui est difficile de parler, il pourra, si les médecins le permettent, entreprendre ces études par la pensée. J’attends de bonnes nouvelles, à ce sujet. Son épouse donne sûrement de la Tsédaka à la caisse de Rabbi Meïr Baal Haness, chaque veille de Chabbat et de fête, avant d’allumer les bougies.
Je vous joins le fascicule édité à l’occasion du 18 Elloul et un extrait des propos tenus durant le Chabbat au cours duquel a été béni Elloul, le mois de la miséricorde. Sans doutes les diffuserez-vous de la manière qui convient, afin qu’ils parviennent aux cercles les plus larges.
En vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,
14 Elloul 5712,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
J’ai reçu votre demande de bénédiction pour monsieur... Lorsque je me rendrai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, je mentionnerai son nom pour qu’il ait une prompte guérison. Que D.ieu fasse que vous puissiez m’annoncer la bonne nouvelle de l’amélioration de son état.
Vous lui demanderez de placer près de son lit une Mezouza vérifiée et cachère. Elle sera, bien sûr, placée à l’intérieur de deux étuis, puisqu’il se trouve à l’hôpital. Il fera également vérifier les Mezouzot de sa maison, ses Tefilin et les Tsitsit du grand et du petit Talith.
Sans en faire le vœu, il s’engagera à adopter les trois études qui concernent chacun et qui ont été instaurées par mon beau-père, le Rabbi. Elles portent, comme vous le savez, sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya.
S’il lui est difficile de parler, il pourra, si les médecins le permettent, entreprendre ces études par la pensée. J’attends de bonnes nouvelles, à ce sujet. Son épouse donne sûrement de la Tsédaka à la caisse de Rabbi Meïr Baal Haness, chaque veille de Chabbat et de fête, avant d’allumer les bougies.
Je vous joins le fascicule édité à l’occasion du 18 Elloul et un extrait des propos tenus durant le Chabbat au cours duquel a été béni Elloul, le mois de la miséricorde. Sans doutes les diffuserez-vous de la manière qui convient, afin qu’ils parviennent aux cercles les plus larges.
En vous souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne année,