Lettre n° 1849
Par la grâce de D.ieu,
18 Elloul 5712,
Brooklyn, New York,
A nos frères et nos sœurs, les fils et filles d’Israël,
partout où ils se trouvent,
que D.ieu leur accorde longue vie(1),
Je vous salue et vous bénis,
Au seuil de la nouvelle année 5713, qui approche de manière positive, pour nous et pour tout Israël, j’adresse ma bénédiction pour une bonne et douce année, à tous nos frères et nos sœurs, les fils et filles d’Israël, partout où ils se trouvent, auxquels D.ieu accordera longue vie.
L’année de la Chemitta, 5712, parvient à son terme et ces jours nous rappellent donc la Mitsva considérable, qui est "un puissant fondement et un grand principe de notre foi", celle du Hakhel, lorsque l’ensemble du peuple, hommes, femmes et enfants, se réunissait, pendant ‘Hol Hamoed Soukkot, dans un endroit sacré, le Temple, qui sera bâti, très bientôt et de nos jours, par notre juste Machia’h. Là, tous écoutaient des passages de la Torah évoquant la soumission à D.ieu et au joug des Mitsvot, en particulier celle de la Tsédaka, la dîme.
De tout temps, les Juifs ont eu une Mitsva d’éduquer leurs enfants sur la voie de la Torah et des Mitsvot. Mais, la Mitsva du Hakhel le souligne encore plus clairement et nous rappelle cette nécessité avec une force particulière.
En ces jours concluant l’année passée et introduisant celle qui approche, chaque père et chaque mère, chaque Rav et chaque dirigeant, chaque responsable et chaque personne d’influence doit prendre une ferme décision, dans l’esprit de la Mitsva du Hakhel, non seulement pour les jours redoutables(2) et Soukkot, période de ce Hakhel, mais également pour toute l’année.
Il faut réunir les enfants juifs et les conduire dans les Yechivot, les Talmud Torah, les écoles dans lesquelles on leur dispense une bonne éducation. En donnant de la Tsédaka avec largesse, on peut, en outre, renforcer et assurer la pérennité de ces institutions, accueillant les petits garçons et les petites filles, en tout endroit.
Il faut, en effet, les éduquer dans un esprit de crainte de D.ieu, d’amour de D.ieu, d’amour de la Torah et des Mitsvot, d’amour du prochain.
Par ce mérite, D.ieu nous accordera très rapidement d’accomplir la Mitsva du Hakhel dans le Temple, à Jérusalem reconstruite par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, Amen.
En vous souhaitant et en me souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement,
Mena’hem Mendel ben ‘Hanna Schneerson,
Notes
(1) Cette lettre reprend, dans ses grandes lignes, le contenu de la précédente. Elle est, néanmoins, rédigée en Yiddish, alors que la précédente est en Hébreu. Elle s’adresse donc à un public plus large.
(2) Roch Hachana et Yom Kippour.
18 Elloul 5712,
Brooklyn, New York,
A nos frères et nos sœurs, les fils et filles d’Israël,
partout où ils se trouvent,
que D.ieu leur accorde longue vie(1),
Je vous salue et vous bénis,
Au seuil de la nouvelle année 5713, qui approche de manière positive, pour nous et pour tout Israël, j’adresse ma bénédiction pour une bonne et douce année, à tous nos frères et nos sœurs, les fils et filles d’Israël, partout où ils se trouvent, auxquels D.ieu accordera longue vie.
L’année de la Chemitta, 5712, parvient à son terme et ces jours nous rappellent donc la Mitsva considérable, qui est "un puissant fondement et un grand principe de notre foi", celle du Hakhel, lorsque l’ensemble du peuple, hommes, femmes et enfants, se réunissait, pendant ‘Hol Hamoed Soukkot, dans un endroit sacré, le Temple, qui sera bâti, très bientôt et de nos jours, par notre juste Machia’h. Là, tous écoutaient des passages de la Torah évoquant la soumission à D.ieu et au joug des Mitsvot, en particulier celle de la Tsédaka, la dîme.
De tout temps, les Juifs ont eu une Mitsva d’éduquer leurs enfants sur la voie de la Torah et des Mitsvot. Mais, la Mitsva du Hakhel le souligne encore plus clairement et nous rappelle cette nécessité avec une force particulière.
En ces jours concluant l’année passée et introduisant celle qui approche, chaque père et chaque mère, chaque Rav et chaque dirigeant, chaque responsable et chaque personne d’influence doit prendre une ferme décision, dans l’esprit de la Mitsva du Hakhel, non seulement pour les jours redoutables(2) et Soukkot, période de ce Hakhel, mais également pour toute l’année.
Il faut réunir les enfants juifs et les conduire dans les Yechivot, les Talmud Torah, les écoles dans lesquelles on leur dispense une bonne éducation. En donnant de la Tsédaka avec largesse, on peut, en outre, renforcer et assurer la pérennité de ces institutions, accueillant les petits garçons et les petites filles, en tout endroit.
Il faut, en effet, les éduquer dans un esprit de crainte de D.ieu, d’amour de D.ieu, d’amour de la Torah et des Mitsvot, d’amour du prochain.
Par ce mérite, D.ieu nous accordera très rapidement d’accomplir la Mitsva du Hakhel dans le Temple, à Jérusalem reconstruite par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours, Amen.
En vous souhaitant et en me souhaitant d’être inscrit et scellé pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement,
Mena’hem Mendel ben ‘Hanna Schneerson,
Notes
(1) Cette lettre reprend, dans ses grandes lignes, le contenu de la précédente. Elle est, néanmoins, rédigée en Yiddish, alors que la précédente est en Hébreu. Elle s’adresse donc à un public plus large.
(2) Roch Hachana et Yom Kippour.