Lettre n° 1881
Par la grâce de D.ieu,
1er Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A mon avis, vous devriez contacter un organisme arrangeant des mariages pour vos filles, mais sans qu’elles le sachent. Vous communiquerez toutes les informations nécessaires, relatives à vos filles et vous demanderez que l’on recherche activement un bon parti pour elles.
Certes, il appartient au Saint béni soit-Il de constituer des couples. Néanmoins, il est essentiel d’avoir systématiquement recours aux voies de la nature(1). Il serait bon que vous donniez, tous les matins, dix huit cents à la Tsédaka, pour le mérite de vos filles et de tous les membres de votre famille. Ceci forgera le réceptacle permettant de susciter et d’intégrer les bénédictions de D.ieu, dans tous ces domaines.
Vous ne dites pas, dans votre lettre, quelle est actuellement votre occupation. Etes-vous encore Cho’het ou bien avez vous maintenant une autre activité? Nos Sages rapportent, au traité ‘Houlin 30b, ce qui fut enseigné dans la maison d’étude d’Elyahou. En effet, ce texte définit la Che’hita comme un moyen d’exercer une attirance(2).
Tout comme la Che’hita existe matériellement, elle peut aussi recevoir un contenu spirituel. Dans ce dernier cas, elle consiste, à proprement parler, à attirer l’animal que l’homme porte en lui, afin qu’il quitte le “ domaine public ”, c’est-à-dire les passions, les plaisirs divers et variés, et pénètre dans le “ domaine privé ”, celui de l’Unique du monde.
Tout dépend donc de la manière dont on vit et dont on assouvit ses désirs et ses appétits. Si l’on sait se maîtriser, en ces domaines, la Che’hita, ce geste d’attirance, ne doit pas être si fort. En revanche, si l’on éprouve un grand enthousiasme pour ces plaisirs, la Che’hita doit être vigoureuse.
Que D.ieu fasse que vous exerciez une influence positive sur votre entourage, que vous le conduisiez vers la Torah et les Mitsvot, vers la Torah unique que nous avons tous reçue du Roi unique, possédant la vie éternelle.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles.
Notes
(1) En ayant recours à un intermédiaire.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°1682, 1713, 1833 et 2169.
1er Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A mon avis, vous devriez contacter un organisme arrangeant des mariages pour vos filles, mais sans qu’elles le sachent. Vous communiquerez toutes les informations nécessaires, relatives à vos filles et vous demanderez que l’on recherche activement un bon parti pour elles.
Certes, il appartient au Saint béni soit-Il de constituer des couples. Néanmoins, il est essentiel d’avoir systématiquement recours aux voies de la nature(1). Il serait bon que vous donniez, tous les matins, dix huit cents à la Tsédaka, pour le mérite de vos filles et de tous les membres de votre famille. Ceci forgera le réceptacle permettant de susciter et d’intégrer les bénédictions de D.ieu, dans tous ces domaines.
Vous ne dites pas, dans votre lettre, quelle est actuellement votre occupation. Etes-vous encore Cho’het ou bien avez vous maintenant une autre activité? Nos Sages rapportent, au traité ‘Houlin 30b, ce qui fut enseigné dans la maison d’étude d’Elyahou. En effet, ce texte définit la Che’hita comme un moyen d’exercer une attirance(2).
Tout comme la Che’hita existe matériellement, elle peut aussi recevoir un contenu spirituel. Dans ce dernier cas, elle consiste, à proprement parler, à attirer l’animal que l’homme porte en lui, afin qu’il quitte le “ domaine public ”, c’est-à-dire les passions, les plaisirs divers et variés, et pénètre dans le “ domaine privé ”, celui de l’Unique du monde.
Tout dépend donc de la manière dont on vit et dont on assouvit ses désirs et ses appétits. Si l’on sait se maîtriser, en ces domaines, la Che’hita, ce geste d’attirance, ne doit pas être si fort. En revanche, si l’on éprouve un grand enthousiasme pour ces plaisirs, la Che’hita doit être vigoureuse.
Que D.ieu fasse que vous exerciez une influence positive sur votre entourage, que vous le conduisiez vers la Torah et les Mitsvot, vers la Torah unique que nous avons tous reçue du Roi unique, possédant la vie éternelle.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de vos bonnes nouvelles.
Notes
(1) En ayant recours à un intermédiaire.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°1682, 1713, 1833 et 2169.