Lettre n° 1888
Par la grâce de D.ieu,
4 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du mardi de la Parchat Noa’h et ce qui y était joint. Pour faire suite à ce que j’ai dit au cours de la réunion ‘hassidique qui a eu lieu dans la Soukka, je vous réitère ma bénédiction de Mazal Tov à l’occasion de la circoncision de votre petit-fils.
Comme vous le savez, les derniers Sages expliquent que la circoncision consiste en trois points(2) et le Rav de Ragatchov a fait une analyse précise, à ce sujet. Il est, d’une part, une obligation de se circoncire. Il y a, de plus, une interdiction de conserver son prépuce. Enfin, il faut être circoncis. Et, il existe plusieurs différences, de nombreuses distinctions qui peuvent être faites selon la définition qui est retenue.
On peut expliquer brièvement ce qui en découle pour le service de D.ieu, tel que le définit la ‘Hassidout. Il est clair que l’on doit s’écarter de mal, c’est-à-dire ne pas conserver son prépuce. Il faut également être circoncis et “ faire le bien ”. Mais, avant tout, comme le rapporte mon beau-père, le Rabbi, citant nos saints maîtres, “ rien de ce qui concerne un ‘Hassid ne saurait être machinal ”. Tout ce qu’il accomplit doit résulter de l’effort. De ce point de vue, se circoncire est bien une obligation.
Que D.ieu accorde à chacun d’entre nous la possibilité de mettre en pratique ces trois points en toutes nos actions et en toutes nos réalisations, de s’écarter du mal, de faire le bien et de servir D.ieu, au présent(3).
Avec ma bénédiction pour une bonne santé, de longs jours et de bonnes années, dans tous les sens de ces termes, pour vous et pour votre épouse,
Notes
(1) Le Rav A. Gordon. Voir, à son propos, la lettre n°1159.
(2) Voir le Likouteï Si’hot, tome 3, page 759.
(3) C’est-à-dire de manière active.
4 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Avraham(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du mardi de la Parchat Noa’h et ce qui y était joint. Pour faire suite à ce que j’ai dit au cours de la réunion ‘hassidique qui a eu lieu dans la Soukka, je vous réitère ma bénédiction de Mazal Tov à l’occasion de la circoncision de votre petit-fils.
Comme vous le savez, les derniers Sages expliquent que la circoncision consiste en trois points(2) et le Rav de Ragatchov a fait une analyse précise, à ce sujet. Il est, d’une part, une obligation de se circoncire. Il y a, de plus, une interdiction de conserver son prépuce. Enfin, il faut être circoncis. Et, il existe plusieurs différences, de nombreuses distinctions qui peuvent être faites selon la définition qui est retenue.
On peut expliquer brièvement ce qui en découle pour le service de D.ieu, tel que le définit la ‘Hassidout. Il est clair que l’on doit s’écarter de mal, c’est-à-dire ne pas conserver son prépuce. Il faut également être circoncis et “ faire le bien ”. Mais, avant tout, comme le rapporte mon beau-père, le Rabbi, citant nos saints maîtres, “ rien de ce qui concerne un ‘Hassid ne saurait être machinal ”. Tout ce qu’il accomplit doit résulter de l’effort. De ce point de vue, se circoncire est bien une obligation.
Que D.ieu accorde à chacun d’entre nous la possibilité de mettre en pratique ces trois points en toutes nos actions et en toutes nos réalisations, de s’écarter du mal, de faire le bien et de servir D.ieu, au présent(3).
Avec ma bénédiction pour une bonne santé, de longs jours et de bonnes années, dans tous les sens de ces termes, pour vous et pour votre épouse,
Notes
(1) Le Rav A. Gordon. Voir, à son propos, la lettre n°1159.
(2) Voir le Likouteï Si’hot, tome 3, page 759.
(3) C’est-à-dire de manière active.