Lettre n° 1906
Par la grâce de D.ieu,
16 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce jeudi, par laquelle vous me décrivez la situation, dans votre commerce et les disputes qui s’y déroulent.
A ce propos, je voudrais rappeler ce que l’on peut vérifier concrètement. Non seulement la colère motivée par les préoccupations du monde n’est d’aucune utilité, mais, bien plus, elle est même dommageable. C’est en particulier le cas dans les relations entre deux personnes. Lorsque l’une se met en colère, l’autre le fait également. Et, quand les passions sont exacerbées, la compréhension se voile. Par la suite, on se rend compte que l’on n’aurait jamais dû prononcer de telles paroles.
De plus, l’absence de paix n’est pas bonne non plus pour les affaires, parfois même aussi bien matériellement que spirituellement. Si vous parvenez à avoir un comportement plus réfléchi et moins passionné, vous saurez trouver les moyens de diriger votre affaire et le travail que vous y effectuerez sera fructueux.
L’une des erreurs commises par les jeunes gens consiste à distinguer le matériel du spirituel, ce qui, d’un certain point de vue, va à l’encontre de la foi en le D.ieu unique et en Son Nom unique, matériellement et spirituellement.
On pense donc que, si les affaires ne vont pas, c’est par la faute du commerce. Et, l’on ne se dit même pas que le problème pourrait être relatif à la Torah et aux Mitsvot, qui sont les canaux de la subsistance matérielle.
Vous devez donc renforcer votre respect des trois études concernant chacun, celles, bien connues, du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya. Vous fixerez, en outre, un temps pour étudier la Torah, sa partie révélée et la ‘Hassidout. Alors, la situation matérielle de votre commerce s’améliorera, dans la joie.
Avec ma bénédiction de réussite, spirituelle et matérielle, de même que votre épouse,
16 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce jeudi, par laquelle vous me décrivez la situation, dans votre commerce et les disputes qui s’y déroulent.
A ce propos, je voudrais rappeler ce que l’on peut vérifier concrètement. Non seulement la colère motivée par les préoccupations du monde n’est d’aucune utilité, mais, bien plus, elle est même dommageable. C’est en particulier le cas dans les relations entre deux personnes. Lorsque l’une se met en colère, l’autre le fait également. Et, quand les passions sont exacerbées, la compréhension se voile. Par la suite, on se rend compte que l’on n’aurait jamais dû prononcer de telles paroles.
De plus, l’absence de paix n’est pas bonne non plus pour les affaires, parfois même aussi bien matériellement que spirituellement. Si vous parvenez à avoir un comportement plus réfléchi et moins passionné, vous saurez trouver les moyens de diriger votre affaire et le travail que vous y effectuerez sera fructueux.
L’une des erreurs commises par les jeunes gens consiste à distinguer le matériel du spirituel, ce qui, d’un certain point de vue, va à l’encontre de la foi en le D.ieu unique et en Son Nom unique, matériellement et spirituellement.
On pense donc que, si les affaires ne vont pas, c’est par la faute du commerce. Et, l’on ne se dit même pas que le problème pourrait être relatif à la Torah et aux Mitsvot, qui sont les canaux de la subsistance matérielle.
Vous devez donc renforcer votre respect des trois études concernant chacun, celles, bien connues, du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya. Vous fixerez, en outre, un temps pour étudier la Torah, sa partie révélée et la ‘Hassidout. Alors, la situation matérielle de votre commerce s’améliorera, dans la joie.
Avec ma bénédiction de réussite, spirituelle et matérielle, de même que votre épouse,