Lettre n° 1907

Par la grâce de D.ieu,
16 Mar’hechvan 5713,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je suis surpris que, dans cette lettre également, vous ne parliez pas de votre fille. Je suis également un peu étonné de ne pas voir votre nom apparaître dans les listes de ceux qui participent aux actions de ‘Habad, en différents domaines, dans votre ville.

Il est sans doute inutile de vous rappeler vos origines. Différents ouvrages sacrés établissent que les parents lèguent à leurs enfants leurs capacités et leurs aptitudes. La pratique courante établit qu’il en est bien ainsi. Vous portez donc en vous beaucoup de bien, dont vous ne faites aucun usage. Cela est dommage pour votre entourage, qui ne bénéficie pas de votre influence et donc pour vous-même.

Vous savez qu’en réalité, ce que le pauvre apporte au riche dépasse ce que ce dernier offre au premier. Il y a, sans doute, différentes raisons, justifiant qu’il en soit ainsi. Il me semble que la première et la plus importante soit le cloisonnement, le fait de se tenir à part, jusqu’à maintenant.

La seule solution est donc la suivante. Il faut retrouver votre place et regagner votre endroit, dans sa dimension spirituelle, qui en exprime la qualité. Pour cela, il n’est jamais trop tard, surtout au début de l’année.

Avec ma bénédiction de réussite et de bonne santé,

Et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,