Lettre n° 1969
Par la grâce de D.ieu,
Cinquième lumière de ‘Hanouka 5713,
Brooklyn, New York,
Aux femmes et jeunes filles ‘Habad(1),
auxquelles D.ieu accordera longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
A l’occasion de ‘Hanouka et à titre de cadeau pour cette fête, vous a été envoyé le Beth Rabbi(2), en Yiddish, qui vient de paraître.
J’espère qu’au cours de vos réunions, vous ferez un large usage de ce livre, afin de mieux connaître la vie et l’œuvre de nos maîtres, les “ Patriarches de ‘Habad ”, dont le mérite nous protégera. De la sorte, vous pourrez puiser plus avantageusement à leur source d’eaux vives, mieux assumer votre rôle de femme et de jeune fille ‘Habad, diffuser la clarté de la Torah et des Mitsvot dans l’esprit de l’enseignement de ‘Habad, non seulement dans votre propre foyer, mais aussi dans tout votre entourage.
Tout est effet de la divine Providence et ceci s’applique également au fait que le Beth Rabbi ait été édité durant le mois de la libération de ‘Habad(3), en particulier pendant les jours de ‘Hanouka. On peut assurément en tirer un enseignement(4).
Les femmes sont tenues d’allumer les lumières de ‘Hanouka au même titre que celles du Chabbat. Or, les unes et les autres se distinguent, en particulier, par le fait que les premières sont allumées après le coucher du soleil, lorsque la nuit tombe, alors que les secondes brillent déjà pendant le jour, avant le coucher du soleil.
De plus, on allume, à la veille du Chabbat, toujours le même nombre de lumières, alors que, chaque soir, celui des lumières de ‘Hanouka augmente.
Cet enseignement est donc le suivant. On ne peut pas se contenter d’éclairer son propre foyer, par la clarté de la Torah, des Mitsvot et du luminaire de la Torah(5), de sa lumière profonde qui est la ‘Hassidout. On doit également illuminer la “ rue ”.
C’est à cela que font allusion les lumières de ‘Hanouka, qui sont allumées “ à la porte de sa maison, vers l’extérieur ”. Bien plus, lorsque la rue est obscure, on ne peut se contenter d’une seule lumière. Il faut sans cesse en ajouter une nouvelle, agrandir les forces, élargir les accomplissements, conformément à la conception de ‘Habad, qui est basée sur l’amour de D.ieu, l’amour de la Torah et l’amour du prochain.
J’espère qu’à l’image des lumières de ‘Hanouka, vos accomplissements se multiplieront. De la sorte, vous recevrez la clarté de D.ieu pour vous-même et pour tous les membres de votre famille. Vous recevrez les bénédictions pour la santé, les enfants et la prospérité.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir la lettre n°1869.
(2) Biographie de l’Admour Hazaken, de l’Admour Haémtsahi et du Tséma’h Tsédek.
(3) Du 19 Kislev.
(4) Voir, à ce propos, la lettre n°1957.
(5) De la ‘Hassidout.
Cinquième lumière de ‘Hanouka 5713,
Brooklyn, New York,
Aux femmes et jeunes filles ‘Habad(1),
auxquelles D.ieu accordera longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
A l’occasion de ‘Hanouka et à titre de cadeau pour cette fête, vous a été envoyé le Beth Rabbi(2), en Yiddish, qui vient de paraître.
J’espère qu’au cours de vos réunions, vous ferez un large usage de ce livre, afin de mieux connaître la vie et l’œuvre de nos maîtres, les “ Patriarches de ‘Habad ”, dont le mérite nous protégera. De la sorte, vous pourrez puiser plus avantageusement à leur source d’eaux vives, mieux assumer votre rôle de femme et de jeune fille ‘Habad, diffuser la clarté de la Torah et des Mitsvot dans l’esprit de l’enseignement de ‘Habad, non seulement dans votre propre foyer, mais aussi dans tout votre entourage.
Tout est effet de la divine Providence et ceci s’applique également au fait que le Beth Rabbi ait été édité durant le mois de la libération de ‘Habad(3), en particulier pendant les jours de ‘Hanouka. On peut assurément en tirer un enseignement(4).
Les femmes sont tenues d’allumer les lumières de ‘Hanouka au même titre que celles du Chabbat. Or, les unes et les autres se distinguent, en particulier, par le fait que les premières sont allumées après le coucher du soleil, lorsque la nuit tombe, alors que les secondes brillent déjà pendant le jour, avant le coucher du soleil.
De plus, on allume, à la veille du Chabbat, toujours le même nombre de lumières, alors que, chaque soir, celui des lumières de ‘Hanouka augmente.
Cet enseignement est donc le suivant. On ne peut pas se contenter d’éclairer son propre foyer, par la clarté de la Torah, des Mitsvot et du luminaire de la Torah(5), de sa lumière profonde qui est la ‘Hassidout. On doit également illuminer la “ rue ”.
C’est à cela que font allusion les lumières de ‘Hanouka, qui sont allumées “ à la porte de sa maison, vers l’extérieur ”. Bien plus, lorsque la rue est obscure, on ne peut se contenter d’une seule lumière. Il faut sans cesse en ajouter une nouvelle, agrandir les forces, élargir les accomplissements, conformément à la conception de ‘Habad, qui est basée sur l’amour de D.ieu, l’amour de la Torah et l’amour du prochain.
J’espère qu’à l’image des lumières de ‘Hanouka, vos accomplissements se multiplieront. De la sorte, vous recevrez la clarté de D.ieu pour vous-même et pour tous les membres de votre famille. Vous recevrez les bénédictions pour la santé, les enfants et la prospérité.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir la lettre n°1869.
(2) Biographie de l’Admour Hazaken, de l’Admour Haémtsahi et du Tséma’h Tsédek.
(3) Du 19 Kislev.
(4) Voir, à ce propos, la lettre n°1957.
(5) De la ‘Hassidout.