Lettre n° 1980
Par la grâce de D.ieu,
18 Tévet 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Tévet, par laquelle vous m’apprenez que votre fils aura trois ans le 24 Chevat. Vous me demandez si vous pouvez avancer sa première coupe de cheveux au jour de la Hilloula(1), le 10 Chevat.
Conformément à la coutume juive, qui est partie intégrante de la Torah, on ne coupe pas les cheveux à un enfant avant qu’il n’ait trois ans. C’est donc également ce que vous ferez et ceci se fera en un moment bon et fructueux. Je vous joins un extrait d’une lettre de mon beau-père, le Rabbi, à propos de la coupe de cheveux(2).
Vous me dites que vous vous faites du soucis pour votre subsistance matérielle. Il serait bon que vous donniez, chaque jour de semaine, avant la prière, quelques pièces à la Tsédaka. Nos Sages soulignent que l’on peut en donner dans le but d’être riche. Bien plus, D.ieu dit : “ De grâce, mettez-Moi à l’épreuve, en la matière ”.
Nos derniers Sages rapportent que, selon plusieurs Décisionnaires, on peut en dire de même pour la Tsédaka ordinaire. Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h Yoré Déa, au chapitre 247 et ses commentateurs. Les différentes conceptions, dans ce domaine, sont cités dans le Sdeï ‘Hémed, principes, à l’article Noun, chapitre 16.
Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité de garder les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi et portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Celles-ci sont bien connues.
Avec ma bénédiction de réussite pour gagner votre vie,
Notes
(1) Du précédent Rabbi.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°1233 et 2098.
18 Tévet 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 13 Tévet, par laquelle vous m’apprenez que votre fils aura trois ans le 24 Chevat. Vous me demandez si vous pouvez avancer sa première coupe de cheveux au jour de la Hilloula(1), le 10 Chevat.
Conformément à la coutume juive, qui est partie intégrante de la Torah, on ne coupe pas les cheveux à un enfant avant qu’il n’ait trois ans. C’est donc également ce que vous ferez et ceci se fera en un moment bon et fructueux. Je vous joins un extrait d’une lettre de mon beau-père, le Rabbi, à propos de la coupe de cheveux(2).
Vous me dites que vous vous faites du soucis pour votre subsistance matérielle. Il serait bon que vous donniez, chaque jour de semaine, avant la prière, quelques pièces à la Tsédaka. Nos Sages soulignent que l’on peut en donner dans le but d’être riche. Bien plus, D.ieu dit : “ De grâce, mettez-Moi à l’épreuve, en la matière ”.
Nos derniers Sages rapportent que, selon plusieurs Décisionnaires, on peut en dire de même pour la Tsédaka ordinaire. Vous consulterez, à ce sujet, le Choul’han Arou’h Yoré Déa, au chapitre 247 et ses commentateurs. Les différentes conceptions, dans ce domaine, sont cités dans le Sdeï ‘Hémed, principes, à l’article Noun, chapitre 16.
Il est sûrement inutile de vous rappeler la nécessité de garder les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi et portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Celles-ci sont bien connues.
Avec ma bénédiction de réussite pour gagner votre vie,
Notes
(1) Du précédent Rabbi.
(2) Voir, à ce propos, les lettres n°1233 et 2098.