Lettre n° 2001
Par la grâce de D.ieu,
6 Chevat 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il est sans doute inutile de vous rappeler ce que recouvre le profond concept selon lequel “ Israël est un peuple unique sur la terre ”. Il ne signifie pas seulement, d’après son sens littéral, que les Juifs croient au D.ieu unique et à la Torah unique, mais aussi qu’ils mettent en évidence cette unité en toute chose.
Il n’est pas d’autre pouvoir que celui de D.ieu, dans le monde. L’Eternel est unique et Son Unité est infinie. Bien plus, tous les aspects du monde proclament cette unité. De fait, la matière et l’esprit ne sont pas deux dimensions séparées. Certes, comme le remarquent nos Sages, “ celui qui veut se tromper, qu’il se trompe ! ”. Mais, en réalité, ces deux dimensions n’en font qu’une.
Telle est la finalité de l’homme juif, qui doit comprendre et ressentir au fond de lui l’unité de D.ieu, l’expliquer également à son entourage et à tous ceux qui reçoivent son influence, partout où il peut l’exercer.
Il en est de même également pour ce qui concerne la santé physique. Lorsque celle-ci doit être renforcée, on doit, parallèlement, raffermir la santé de l’âme et nos Sages disent que : “ A quiconque ajoute(1), on ajoute(2) ”.
Je me permets donc de vous souligner que votre père devrait intensifier son étude de notre sainte Torah, Torah de vie. Car, c’est par son intermédiaire que “ Il a implanté en nous la vie éternelle ”(3). L’une des explications est la suivante. Lorsque l’on se trouve dans ce monde, on doit posséder la vie véritable(4). Et, ceci doit être ressenti par le corps, apparaître en lui d’une manière évidente, comme le tranche le Rambam, selon lequel, dans ses lois des opinions, au début de chapitre 4, “ la bonne santé du corps est partie intégrante du service de D.ieu ”.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) A ses efforts.
(2) Des bénédictions.
(3) Selon le texte de la bénédiction récitée sur la Torah.
(4) Celle de la Torah.
6 Chevat 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Il est sans doute inutile de vous rappeler ce que recouvre le profond concept selon lequel “ Israël est un peuple unique sur la terre ”. Il ne signifie pas seulement, d’après son sens littéral, que les Juifs croient au D.ieu unique et à la Torah unique, mais aussi qu’ils mettent en évidence cette unité en toute chose.
Il n’est pas d’autre pouvoir que celui de D.ieu, dans le monde. L’Eternel est unique et Son Unité est infinie. Bien plus, tous les aspects du monde proclament cette unité. De fait, la matière et l’esprit ne sont pas deux dimensions séparées. Certes, comme le remarquent nos Sages, “ celui qui veut se tromper, qu’il se trompe ! ”. Mais, en réalité, ces deux dimensions n’en font qu’une.
Telle est la finalité de l’homme juif, qui doit comprendre et ressentir au fond de lui l’unité de D.ieu, l’expliquer également à son entourage et à tous ceux qui reçoivent son influence, partout où il peut l’exercer.
Il en est de même également pour ce qui concerne la santé physique. Lorsque celle-ci doit être renforcée, on doit, parallèlement, raffermir la santé de l’âme et nos Sages disent que : “ A quiconque ajoute(1), on ajoute(2) ”.
Je me permets donc de vous souligner que votre père devrait intensifier son étude de notre sainte Torah, Torah de vie. Car, c’est par son intermédiaire que “ Il a implanté en nous la vie éternelle ”(3). L’une des explications est la suivante. Lorsque l’on se trouve dans ce monde, on doit posséder la vie véritable(4). Et, ceci doit être ressenti par le corps, apparaître en lui d’une manière évidente, comme le tranche le Rambam, selon lequel, dans ses lois des opinions, au début de chapitre 4, “ la bonne santé du corps est partie intégrante du service de D.ieu ”.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) A ses efforts.
(2) Des bénédictions.
(3) Selon le texte de la bénédiction récitée sur la Torah.
(4) Celle de la Torah.