Lettre n° 2010
Par la grâce de D.ieu,
13 Chevat 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav A. ‘Hano’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 4 Chevat, dans laquelle vous m’annoncez que vous m’adresserez prochainement les photocopies de trois lettres du Rabbi Rachab et que vous m’avez déjà envoyé la reproduction de l’une de celles-ci. Je vous en remercie beaucoup. Il semble que ceci fasse suite à la lettre que j’ai fait parvenir, par votre intermédiaire, au fils du Rav Cohen(2). Sans doute continuerez-vous à en faire de même, à l’avenir.
Je suis surpris de ne pas avoir reçu, pendant tout ce temps, une seule coupure de presse, de ce qui est imprimé, à propos de ‘Habad, en notre Terre Sainte, alors que, dans ma dernière lettre, je vous ai chargé de réunir ces coupures et de me les adresser. Est-il possible que, pendant tous ces mois, rien n’ait été imprimé à propos de ‘Habad et de tout ce qui le concerne ?
De même, vous ne dites rien de votre avancement dans la traduction en Hébreu de l’édition revue et enrichie du Beth Rabbi, dans laquelle vous devez faire figurer ce que mon beau-père, le Rabbi, raconte, à propos de l’Admour Hazaken, dans ses causeries. Par la suite, il faudra en faire de même pour l’Admour Haémtsahi. En effet, sans en faire le vœu, si l’essai de développer le Beth Rabbi en ce qui concerne l’Admour Hazaken est un succès, j’ai l’intention d’envisager, par la suite, une même édition pour ses successeurs.
Ces jours-ci, le Beth Rabbi a été imprimé ici en Yiddish. Vous savez sans doute qu’il y a, dans cette édition, des récits que l’on ne retrouve pas dans celle qui est en Hébreu. Il doit y avoir, en Terre Sainte, un Beth Rabbi en Yiddish. Vous pourrez donc le consulter et ajouter ces récits à l’édition que vous préparez.
La présente lettre ayant été retardée, j’ai reçu, entre temps, votre courrier du 11 et ce qu’il contenait. Je vous remercie beaucoup pour ces reproductions et surtout pour les bonnes nouvelles relatives à vos activités, dans le nouveau quartier se trouvant à proximité de Lod. Sans doute vous efforcerez-vous de les poursuivre, après ce “ labourage ” et ces “ semailles ”. Ainsi, vous en récolterez les fruits et les réunirez. Que D.ieu vous accorde la réussite, en la matière.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles et avec ma bénédiction de réussite dans tous ces domaines,
Notes
(1) Le Rav Avraham ‘Hano’h Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son propos, la lettre n°1889.
(2) Le Rav Mi’haël Cohen. Voir, à son propos, les lettres du Rabbi Rachab, tome 1, page 170.
13 Chevat 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav A. ‘Hano’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 4 Chevat, dans laquelle vous m’annoncez que vous m’adresserez prochainement les photocopies de trois lettres du Rabbi Rachab et que vous m’avez déjà envoyé la reproduction de l’une de celles-ci. Je vous en remercie beaucoup. Il semble que ceci fasse suite à la lettre que j’ai fait parvenir, par votre intermédiaire, au fils du Rav Cohen(2). Sans doute continuerez-vous à en faire de même, à l’avenir.
Je suis surpris de ne pas avoir reçu, pendant tout ce temps, une seule coupure de presse, de ce qui est imprimé, à propos de ‘Habad, en notre Terre Sainte, alors que, dans ma dernière lettre, je vous ai chargé de réunir ces coupures et de me les adresser. Est-il possible que, pendant tous ces mois, rien n’ait été imprimé à propos de ‘Habad et de tout ce qui le concerne ?
De même, vous ne dites rien de votre avancement dans la traduction en Hébreu de l’édition revue et enrichie du Beth Rabbi, dans laquelle vous devez faire figurer ce que mon beau-père, le Rabbi, raconte, à propos de l’Admour Hazaken, dans ses causeries. Par la suite, il faudra en faire de même pour l’Admour Haémtsahi. En effet, sans en faire le vœu, si l’essai de développer le Beth Rabbi en ce qui concerne l’Admour Hazaken est un succès, j’ai l’intention d’envisager, par la suite, une même édition pour ses successeurs.
Ces jours-ci, le Beth Rabbi a été imprimé ici en Yiddish. Vous savez sans doute qu’il y a, dans cette édition, des récits que l’on ne retrouve pas dans celle qui est en Hébreu. Il doit y avoir, en Terre Sainte, un Beth Rabbi en Yiddish. Vous pourrez donc le consulter et ajouter ces récits à l’édition que vous préparez.
La présente lettre ayant été retardée, j’ai reçu, entre temps, votre courrier du 11 et ce qu’il contenait. Je vous remercie beaucoup pour ces reproductions et surtout pour les bonnes nouvelles relatives à vos activités, dans le nouveau quartier se trouvant à proximité de Lod. Sans doute vous efforcerez-vous de les poursuivre, après ce “ labourage ” et ces “ semailles ”. Ainsi, vous en récolterez les fruits et les réunirez. Que D.ieu vous accorde la réussite, en la matière.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles et avec ma bénédiction de réussite dans tous ces domaines,
Notes
(1) Le Rav Avraham ‘Hano’h Glitsenstein, de Jérusalem. Voir, à son propos, la lettre n°1889.
(2) Le Rav Mi’haël Cohen. Voir, à son propos, les lettres du Rabbi Rachab, tome 1, page 170.