Lettre n° 2044
Par la grâce de D.ieu,
9 Adar 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav ‘Haïm(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre concernant votre bru. Comme vous me l’avez demandé, j’ai adressé la réponse à son père, monsieur Levkowitch. Vous avez sûrement vu ma lettre et j’attends de vos bonnes nouvelles.
Vous évoquez, dans votre lettre la Hilloula(2) du 10 Chevat, les difficultés que vous avez rencontrées pour obtenir le visa qui vous aurez permis de venir ici. Comme vous le savez, le verset dit que “ toute chose intervient en son temps ”. D.ieu vous accordera, le moment venu, le mérite de vous rendre près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. De même, vous pourrez prendre part à une réunion ‘hassidique, ici. Vous le ferez en bonne santé et dans la joie.
A l’occasion de Pourim, qui approche, j’ai proposé aux ‘Hassidim, d’étudier, au jour de la fête et le Chabbat qui le précède, le discours ‘hassidique que mon beau-père, le Rabbi, prononça à Pourim 5701(3). Celui-ci figure dans le fascicule n°100. On étudiera également la causerie prononcée à cette même occasion, qui fut imprimée, à l’époque, sous forme de fascicule. J’espère que les ‘Hassidim de Toronto en feront de même.
Concernant le voyage en Terre Sainte(4), il ne me semble pas que ce soit le moment.
Concernant Ottawa(4), je pense que vous avez une place meilleure et plus respectable, matériellement et spirituellement, à Toronto.
En saluant tous les ‘Hassidim et en vous souhaitant un joyeux Pourim, “ jusqu’à ne plus savoir(5) ”, comme le demande notre sainte Torah, puis en conservant, par la suite, la joie pour toute l’année, physiquement et moralement,
Notes
(1) Le Rav H. Plotkin, de Toronto. Voir, à son sujet, les lettres n°878, 1147 et 1212.
(2) Du précédent Rabbi.
(3) 1941.
(4) Pour s’y installer.
(5) La différence entre “ béni soit Morde’haï ” et “ maudit soit Haman ”.
9 Adar 5713,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav ‘Haïm(1), le Cho’het,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre concernant votre bru. Comme vous me l’avez demandé, j’ai adressé la réponse à son père, monsieur Levkowitch. Vous avez sûrement vu ma lettre et j’attends de vos bonnes nouvelles.
Vous évoquez, dans votre lettre la Hilloula(2) du 10 Chevat, les difficultés que vous avez rencontrées pour obtenir le visa qui vous aurez permis de venir ici. Comme vous le savez, le verset dit que “ toute chose intervient en son temps ”. D.ieu vous accordera, le moment venu, le mérite de vous rendre près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. De même, vous pourrez prendre part à une réunion ‘hassidique, ici. Vous le ferez en bonne santé et dans la joie.
A l’occasion de Pourim, qui approche, j’ai proposé aux ‘Hassidim, d’étudier, au jour de la fête et le Chabbat qui le précède, le discours ‘hassidique que mon beau-père, le Rabbi, prononça à Pourim 5701(3). Celui-ci figure dans le fascicule n°100. On étudiera également la causerie prononcée à cette même occasion, qui fut imprimée, à l’époque, sous forme de fascicule. J’espère que les ‘Hassidim de Toronto en feront de même.
Concernant le voyage en Terre Sainte(4), il ne me semble pas que ce soit le moment.
Concernant Ottawa(4), je pense que vous avez une place meilleure et plus respectable, matériellement et spirituellement, à Toronto.
En saluant tous les ‘Hassidim et en vous souhaitant un joyeux Pourim, “ jusqu’à ne plus savoir(5) ”, comme le demande notre sainte Torah, puis en conservant, par la suite, la joie pour toute l’année, physiquement et moralement,
Notes
(1) Le Rav H. Plotkin, de Toronto. Voir, à son sujet, les lettres n°878, 1147 et 1212.
(2) Du précédent Rabbi.
(3) 1941.
(4) Pour s’y installer.
(5) La différence entre “ béni soit Morde’haï ” et “ maudit soit Haman ”.