Lettre n° 2047
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Voici ce qui fait l’objet de la présente. Je vous adresse une copie de la lettre que j’envoie à cet homme. Il semble qu’il soit désespéré, essentiellement parce que les ‘Hassidim ne recherchent pas sa proximité. Il apparaît que l’on ne désire pas son bien, comme on aurait dû le faire.
Je ne veux pas considérer la situation proprement dite et déterminer pour quelle raison il en est ainsi. Mais, en tout état de cause, cette attitude heurte la volonté de nos saints maîtres, qui ont demandé, avec la plus grande détermination, que règne l’unité entre les ‘Hassidim et, a fortiori, entre ceux qui ne sont pas nés des ‘Hassidim, mais le sont devenus par la suite.
Vous connaissez l’image, énoncée par le Midrach Bamidbar Rabba, chapitre 8, paragraphe 2, selon laquelle il convient de se consacrer au cerf, qui vient de se joindre au troupeau, beaucoup plus qu’aux brebis, qui en font partie depuis longtemps. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins le fascicule qui vient de paraître.
Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim,
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Voici ce qui fait l’objet de la présente. Je vous adresse une copie de la lettre que j’envoie à cet homme. Il semble qu’il soit désespéré, essentiellement parce que les ‘Hassidim ne recherchent pas sa proximité. Il apparaît que l’on ne désire pas son bien, comme on aurait dû le faire.
Je ne veux pas considérer la situation proprement dite et déterminer pour quelle raison il en est ainsi. Mais, en tout état de cause, cette attitude heurte la volonté de nos saints maîtres, qui ont demandé, avec la plus grande détermination, que règne l’unité entre les ‘Hassidim et, a fortiori, entre ceux qui ne sont pas nés des ‘Hassidim, mais le sont devenus par la suite.
Vous connaissez l’image, énoncée par le Midrach Bamidbar Rabba, chapitre 8, paragraphe 2, selon laquelle il convient de se consacrer au cerf, qui vient de se joindre au troupeau, beaucoup plus qu’aux brebis, qui en font partie depuis longtemps. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins le fascicule qui vient de paraître.
Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim,