Lettre n° 2051
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 8 Adar dans laquelle vous évoquez votre mariage et me dites que, selon les voies naturelles(1), celui-ci est impossible. Il n’y a nullement là un fait nouveau. Il a déjà été dit que conclure un mariage est aussi difficile qu’ouvrir la mer Rouge, dont on sait à quel point ce fut un grand miracle. Malgré cela, chacun parvient, au final, à se fiancer, à se marier et à bâtir un édifice éternel. Il en sera donc de même pour vous.
Oubliez toutes les difficultés que vous devez affronter, dans ce domaine et prenez la bonne décision qu’il s’agit de l’une des Mitsvot de la Torah. Il est dit que “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec ruse envers ses créatures ”(2). Il demande Lui-même que l’on mettre en pratique cette Mitsva et Il en accordera donc le moyen, le moment venu.
Néanmoins, il faut systématiquement avoir recours aux voies de la nature et nos Sages constatent que “ il est d’usage que l’homme recherche une femme ”. Pour y parvenir encore plus rapidement, vous vous engagerez, sans en faire le vœu, à donner tous les matins avant la prière, un franc à la Tsédaka.
Bien évidemment, vous garderez aussi les trois études quotidiennes, instaurées par mon beau-père, le Rabbi. Celles-ci sont bien connues et portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de bonnes nouvelles pour ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2042.
(2) Il ne demande donc pas ce qu’il est impossible de faire.
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 8 Adar dans laquelle vous évoquez votre mariage et me dites que, selon les voies naturelles(1), celui-ci est impossible. Il n’y a nullement là un fait nouveau. Il a déjà été dit que conclure un mariage est aussi difficile qu’ouvrir la mer Rouge, dont on sait à quel point ce fut un grand miracle. Malgré cela, chacun parvient, au final, à se fiancer, à se marier et à bâtir un édifice éternel. Il en sera donc de même pour vous.
Oubliez toutes les difficultés que vous devez affronter, dans ce domaine et prenez la bonne décision qu’il s’agit de l’une des Mitsvot de la Torah. Il est dit que “ le Saint béni soit-Il n’agit pas avec ruse envers ses créatures ”(2). Il demande Lui-même que l’on mettre en pratique cette Mitsva et Il en accordera donc le moyen, le moment venu.
Néanmoins, il faut systématiquement avoir recours aux voies de la nature et nos Sages constatent que “ il est d’usage que l’homme recherche une femme ”. Pour y parvenir encore plus rapidement, vous vous engagerez, sans en faire le vœu, à donner tous les matins avant la prière, un franc à la Tsédaka.
Bien évidemment, vous garderez aussi les trois études quotidiennes, instaurées par mon beau-père, le Rabbi. Celles-ci sont bien connues et portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya.
Avec ma bénédiction et dans l’attente de bonnes nouvelles pour ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2042.
(2) Il ne demande donc pas ce qu’il est impossible de faire.