Lettre n° 2052
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre de la veille du Chabbat Parchat Terouma, dans laquelle vous m’écrivez que vous ne comprenez pas ce que j’ai voulu dire, à propos des examens(1). Il est bien clair que mon intention n’était nullement de diminuer qui que ce soit.
Nous désirons tous rester en relation les uns avec les autres. Or, comme pour tout ce qui concerne les Juifs, une telle relation est basée sur la Torah et les Mitsvot. Pour ceux qui se trouvent dans l’enceinte d’une Yechiva, c’est, bien sûr, la Torah qui est essentielle.
Je voudrais donc savoir précisément, dans toute la mesure du possible, quelle est la situation de chacun(2), pour ce qui est de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Comme je l’ai précisé d’emblée, ces informations sont à mon usage exclusif.
Certains m’écrivent, de temps à autre, pour m’interroger. Il est donc inutile de me décrire leur situation d’une manière qui ne correspond pas à la réalité. Bien plus, en pareil cas, ma réponse pourrait ne pas correspondre à ce que je voudrais dire.
Vous connaissez le dicton fréquemment répété par les ‘Hassidim : “ La réponse est à la mesure de la question ”. Il s’agit, en l’occurrence, de ceux qui ont le mérite de se trouver dans une colonne de lumière, celle de la Torah. En conséquence, en introduction aux propos de ceux qui s’adressent à moi et de ceux qui le feront, il serait bon que je connaisse le niveau de connaissance de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout possédé par celui qui m’interroge. Il est tout aussi évident que l’information qui m’est communiquée doit correspondre à la réalité.
Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim et pour que “ les Juifs accomplissent et reçoivent ”, selon l’interprétation que nos Sages donnent de ce verset(3),
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2002.
(2) De chaque élève de cette Yechiva.
(3) De la Meguila : Les Juifs accomplirent à Pourim ce qu’ils avaient reçu, lors du don de la Torah.
12 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre de la veille du Chabbat Parchat Terouma, dans laquelle vous m’écrivez que vous ne comprenez pas ce que j’ai voulu dire, à propos des examens(1). Il est bien clair que mon intention n’était nullement de diminuer qui que ce soit.
Nous désirons tous rester en relation les uns avec les autres. Or, comme pour tout ce qui concerne les Juifs, une telle relation est basée sur la Torah et les Mitsvot. Pour ceux qui se trouvent dans l’enceinte d’une Yechiva, c’est, bien sûr, la Torah qui est essentielle.
Je voudrais donc savoir précisément, dans toute la mesure du possible, quelle est la situation de chacun(2), pour ce qui est de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Comme je l’ai précisé d’emblée, ces informations sont à mon usage exclusif.
Certains m’écrivent, de temps à autre, pour m’interroger. Il est donc inutile de me décrire leur situation d’une manière qui ne correspond pas à la réalité. Bien plus, en pareil cas, ma réponse pourrait ne pas correspondre à ce que je voudrais dire.
Vous connaissez le dicton fréquemment répété par les ‘Hassidim : “ La réponse est à la mesure de la question ”. Il s’agit, en l’occurrence, de ceux qui ont le mérite de se trouver dans une colonne de lumière, celle de la Torah. En conséquence, en introduction aux propos de ceux qui s’adressent à moi et de ceux qui le feront, il serait bon que je connaisse le niveau de connaissance de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout possédé par celui qui m’interroge. Il est tout aussi évident que l’information qui m’est communiquée doit correspondre à la réalité.
Avec ma bénédiction pour un joyeux Pourim et pour que “ les Juifs accomplissent et reçoivent ”, selon l’interprétation que nos Sages donnent de ce verset(3),
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°2002.
(2) De chaque élève de cette Yechiva.
(3) De la Meguila : Les Juifs accomplirent à Pourim ce qu’ils avaient reçu, lors du don de la Torah.