Lettre n° 2053
[12 Adar 5713]
Concernant les carottes crues(1), vous consulterez les lois des bénédictions(2), chapitre 6, paragraphe 11, qui précisent : “ il n’est pas l’habitude de la majorité…(3) ”.
Ceci est mentionné dans le Chaar Ha Tsion sur le Michna Beroura, chapitre 205, paragraphe 3.
Notes
(1) Et la bénédiction, en l’occurrence celle de Chehakol, que l’on doit réciter en les consommant, puisqu’il est d’usage courant de les manger cuites.
(2) De l’Admour Hazaken, qui figurent dans son Sidour.
(3) “ Des hommes de les manger crues, mais plutôt de les cuire ”. Le Rabbi souligne donc que l’usage majoritaire doit être pris en compte, même si une minorité de personnes, à titre individuel, les consomment couramment crues.
Concernant les carottes crues(1), vous consulterez les lois des bénédictions(2), chapitre 6, paragraphe 11, qui précisent : “ il n’est pas l’habitude de la majorité…(3) ”.
Ceci est mentionné dans le Chaar Ha Tsion sur le Michna Beroura, chapitre 205, paragraphe 3.
Notes
(1) Et la bénédiction, en l’occurrence celle de Chehakol, que l’on doit réciter en les consommant, puisqu’il est d’usage courant de les manger cuites.
(2) De l’Admour Hazaken, qui figurent dans son Sidour.
(3) “ Des hommes de les manger crues, mais plutôt de les cuire ”. Le Rabbi souligne donc que l’usage majoritaire doit être pris en compte, même si une minorité de personnes, à titre individuel, les consomment couramment crues.