Lettre n° 2055
Par la grâce de D.ieu,
22 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre demande de bénédiction, qui a été lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Pour l’heure, voici ce qui fait l’objet de la présente. D’après les nouvelles que je reçois de votre ville et de ceux qui, résidant là-bas, viennent visiter ici, il semble que vous ne soyez pas du tout en bonne santé physique. Il est impossible que cela n’ait pas de conséquences négatives sur votre santé morale.
Vous connaissez l’affirmation du Maguid(1) à son fils, Rabbi A.(2) l’Ange, selon laquelle “ un petit orifice dans le corps correspond à un trou béant dans l’âme ”. On la retrouve également dans la partie révélée de la Torah, puisque le Rambam tranche, au début du quatrième chapitre de ses lois des opinions, que “ avoir un corps en bonne santé est partie intégrante du service de D.ieu ”.
Il est dommage de perdre du temps à discuter ce qui est une évidence. Si vous voulez m’écouter, vous devez renforcer votre état de santé, au sens le plus littéral, manger, boire, dormir. C’est ainsi que vous vous sentirez bien moralement. Et vous connaissez le commentaire que donne le Baal Chem Tov du verset : “ Lorsque tu verras l’âne de ton ennemi ployer sous son fardeau et voudras l’abandonner, tu lui viendras en aide ”(3).
Sans doute me confirmerez-vous avoir reçu la présente lettre et vous me direz ce que vous avez l’intention de faire, dans ce domaine. Vous m’indiquerez également ce que vous avez accompli de positif à la Yechiva, en particulier et dans tous les domaines de ‘Habad, en général.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour tous les membres de votre famille,
Notes
(1) De Mézéritch.
(2) Rabbi Avraham.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1755.
22 Adar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre demande de bénédiction, qui a été lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Pour l’heure, voici ce qui fait l’objet de la présente. D’après les nouvelles que je reçois de votre ville et de ceux qui, résidant là-bas, viennent visiter ici, il semble que vous ne soyez pas du tout en bonne santé physique. Il est impossible que cela n’ait pas de conséquences négatives sur votre santé morale.
Vous connaissez l’affirmation du Maguid(1) à son fils, Rabbi A.(2) l’Ange, selon laquelle “ un petit orifice dans le corps correspond à un trou béant dans l’âme ”. On la retrouve également dans la partie révélée de la Torah, puisque le Rambam tranche, au début du quatrième chapitre de ses lois des opinions, que “ avoir un corps en bonne santé est partie intégrante du service de D.ieu ”.
Il est dommage de perdre du temps à discuter ce qui est une évidence. Si vous voulez m’écouter, vous devez renforcer votre état de santé, au sens le plus littéral, manger, boire, dormir. C’est ainsi que vous vous sentirez bien moralement. Et vous connaissez le commentaire que donne le Baal Chem Tov du verset : “ Lorsque tu verras l’âne de ton ennemi ployer sous son fardeau et voudras l’abandonner, tu lui viendras en aide ”(3).
Sans doute me confirmerez-vous avoir reçu la présente lettre et vous me direz ce que vous avez l’intention de faire, dans ce domaine. Vous m’indiquerez également ce que vous avez accompli de positif à la Yechiva, en particulier et dans tous les domaines de ‘Habad, en général.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse, pour vous et pour tous les membres de votre famille,
Notes
(1) De Mézéritch.
(2) Rabbi Avraham.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°1755.