Lettre n° 2094
Par la grâce de D.ieu,
5 Iyar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre de la veille du dernier Chabbat. Je suis surpris que vous ne me confirmiez pas avoir reçu la mienne, vous souhaitant une bonne fête de Pessa’h. Peut-être celle-ci a-t-elle été retardée.
Pour ce qui est de vos questions :
A) Vous évoquez l’opération de la cataracte que les médecins vous préconisent. Vous parlez des médecins, au pluriel. Sans doute y a-t-il, parmi eux, au moins deux spécialistes. En pareil cas, il n’y a rien à craindre, car de telles interventions sont devenues très courantes et les précautions à prendre sont bien connues.
Vous pouvez en conclure qu’il n’y a pas lieu de se rendre dans un autre pays, pour effectuer cette opération et ce, pour différentes raisons. Quant au choix du médecin, vous connaissez le récit que m’a rapporté mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Lors de la circoncision d’un de ses petits-fils, on demanda au Tséma’h Tsédek s’il fallait choisir un Mohel, plus âgé et en connaissant bien la signification profonde ou bien un autre, plus jeune, mais aux connaissances plus limitées.
Le Tséma’h Tsédek répondit qu’il fallait choisir le plus jeune, car seul l’acte concret(1) importe.
D.ieu permettra donc que ce médecin vous apporte une guérison complète.
B) Vous me dites qu’un ‘Hassid a recopié les manuscrits(2). Dès que j’ai eu connaissance de leur existence, j’ai demandé aux ‘Hassidim s’il est possible d’en vérifier le contenu, de l’étudier et d’en établir un index(3). Peut-être est-ce à cela que vous faites allusion.
Avec ma bénédiction de bonne santé et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) La réalisation effective de la circoncision.
(2) D’écrits ‘hassidiques.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°1699 et 1749.
5 Iyar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre de la veille du dernier Chabbat. Je suis surpris que vous ne me confirmiez pas avoir reçu la mienne, vous souhaitant une bonne fête de Pessa’h. Peut-être celle-ci a-t-elle été retardée.
Pour ce qui est de vos questions :
A) Vous évoquez l’opération de la cataracte que les médecins vous préconisent. Vous parlez des médecins, au pluriel. Sans doute y a-t-il, parmi eux, au moins deux spécialistes. En pareil cas, il n’y a rien à craindre, car de telles interventions sont devenues très courantes et les précautions à prendre sont bien connues.
Vous pouvez en conclure qu’il n’y a pas lieu de se rendre dans un autre pays, pour effectuer cette opération et ce, pour différentes raisons. Quant au choix du médecin, vous connaissez le récit que m’a rapporté mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Lors de la circoncision d’un de ses petits-fils, on demanda au Tséma’h Tsédek s’il fallait choisir un Mohel, plus âgé et en connaissant bien la signification profonde ou bien un autre, plus jeune, mais aux connaissances plus limitées.
Le Tséma’h Tsédek répondit qu’il fallait choisir le plus jeune, car seul l’acte concret(1) importe.
D.ieu permettra donc que ce médecin vous apporte une guérison complète.
B) Vous me dites qu’un ‘Hassid a recopié les manuscrits(2). Dès que j’ai eu connaissance de leur existence, j’ai demandé aux ‘Hassidim s’il est possible d’en vérifier le contenu, de l’étudier et d’en établir un index(3). Peut-être est-ce à cela que vous faites allusion.
Avec ma bénédiction de bonne santé et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) La réalisation effective de la circoncision.
(2) D’écrits ‘hassidiques.
(3) Voir, à ce propos, les lettres n°1699 et 1749.