Lettre n° 2112
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre de Lag Baomer. J’y ai lu avec une grande satisfaction que vous et votre épouse, voyez la divine Providence de vos yeux de chair. Il faudrait expliquer précisément à votre épouse qu’elle doit agir avec bienveillance envers les autre, après avoir constaté à quel point le port de la perruque(1) lui a apporté la bénédiction et la réussite. C’est ce que disent nos Sages, à propos du don de la Tsédaka(2). Elle influencera donc son entourage en ce sens. En effet, de tels propos, émanant d’une femme qui a grandi dans l’ambiance propre aux Etats Unis, sont particulièrement convaincants.
Vous me dites que vous achetez une maison dans un quartier où il n’y a pas de synagogue orthodoxe. En conséquence, le Chabbat, vous prierez chez vous. Il n’est pas bon qu’il en soit ainsi. Même si, quelques fois par mois, vous allez passer le Chabbat ailleurs, vous devez trouver le moyen de réunir dix personnes en cet endroit. Ainsi, il sera possible d’y conduire un Séfer Torah. Bien évidemment, il faudra faire en sorte de ne pas soulever trop de controverse, ou, mieux encore, de ne pas en soulever du tout.
J’ai été content d’apprendre, par ailleurs, que vous maintenez votre étude quotidienne de la ‘Hassidout et que vous avez recommencé à apprendre la Torah avec le Rav C. L. Grinberg(3). Vous voudrez bien lui adresser mes bons souhaits.
Je vous joins le texte de ce que j’ai dit aux élèves(4), ce Lag Baomer(5). Sans doute en ferez-vous bon usage dans votre entourage.
Que D.ieu vous confère la réussite, de même qu’aux membres de votre famille, en tous vos besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce propos, la lettre n°1892.
(2) Il convient, non seulement, d’en donner soi-même, mais aussi de convaincre les autres de le faire.
(3) Le Rav Chimeon Aryé Leïb Grinberg. Voir, à son propos, la lettre n°2058.
(4) De La Yechiva.
(5) Voir Likouteï Si’hot, tome 2, page 553.
21 Iyar 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu avec plaisir votre lettre de Lag Baomer. J’y ai lu avec une grande satisfaction que vous et votre épouse, voyez la divine Providence de vos yeux de chair. Il faudrait expliquer précisément à votre épouse qu’elle doit agir avec bienveillance envers les autre, après avoir constaté à quel point le port de la perruque(1) lui a apporté la bénédiction et la réussite. C’est ce que disent nos Sages, à propos du don de la Tsédaka(2). Elle influencera donc son entourage en ce sens. En effet, de tels propos, émanant d’une femme qui a grandi dans l’ambiance propre aux Etats Unis, sont particulièrement convaincants.
Vous me dites que vous achetez une maison dans un quartier où il n’y a pas de synagogue orthodoxe. En conséquence, le Chabbat, vous prierez chez vous. Il n’est pas bon qu’il en soit ainsi. Même si, quelques fois par mois, vous allez passer le Chabbat ailleurs, vous devez trouver le moyen de réunir dix personnes en cet endroit. Ainsi, il sera possible d’y conduire un Séfer Torah. Bien évidemment, il faudra faire en sorte de ne pas soulever trop de controverse, ou, mieux encore, de ne pas en soulever du tout.
J’ai été content d’apprendre, par ailleurs, que vous maintenez votre étude quotidienne de la ‘Hassidout et que vous avez recommencé à apprendre la Torah avec le Rav C. L. Grinberg(3). Vous voudrez bien lui adresser mes bons souhaits.
Je vous joins le texte de ce que j’ai dit aux élèves(4), ce Lag Baomer(5). Sans doute en ferez-vous bon usage dans votre entourage.
Que D.ieu vous confère la réussite, de même qu’aux membres de votre famille, en tous vos besoins, matériels et spirituels.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce propos, la lettre n°1892.
(2) Il convient, non seulement, d’en donner soi-même, mais aussi de convaincre les autres de le faire.
(3) Le Rav Chimeon Aryé Leïb Grinberg. Voir, à son propos, la lettre n°2058.
(4) De La Yechiva.
(5) Voir Likouteï Si’hot, tome 2, page 553.