Lettre n° 2130
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Concernant la radio, vous me dites que l’un des élèves de la Yechiva parlera, de temps en temps et que les autres l’écouteront. Vous connaissez l’effort que firent nos saints maîtres pour diffuser les sources de la ‘Hassidout et ce qui en découle, de la manière la plus large. Or, ils attendent de nous que nous en fassions de même.
Si cela est envisageable, il faut donc penser au moyen d’être écouté par les cercles les plus larges et non uniquement par un groupe limité de personnes. Je ne connais pas bien la réglementation, en la matière, dans ce pays. Je n’en dis donc pas plus, mais une recherche appropriée vous permettra d’obtenir toutes les informations nécessaires.
B) Vous envisagez la possibilité d’utiliser les nouveaux fours électriques, sans cachérisation préalable. En effet, il est possible d’en déterminer la température et la pression. On ne peut donc pas leur appliquer l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ nous ne savons pas déterminer avec précision les conditions de la fusion ”, comme l’explique le Pit’heï Techouva, chapitre 18, paragraphe 69.
Cessez donc de raisonner de cette façon. Une telle manière de pratiquer laisse le libre choix à chacun, à chaque femme, de répondre à ses propres questions, de déterminer la température et la pression. Au final, les domestiques non-juifs prendront eux-mêmes la décision, car on leur confie parfois le rôle de cuisiner.
Nous avons déjà pu constater les ravages qui ont découlé de telles permissions, même lorsqu’elles étaient, a priori, conformes au Choul’han Arou’h. Nous n’avons nul besoin de telles contorsions. Nous ne sommes pas des acrobates dans un cirque, mais des émissaires du Saint béni soit-Il, chargés d’éclairer le monde, par la lumière de la Torah et des Mitsvot.
Nous devons donc saler la viande, la rincer avant et après le salage et ne pas oublier l’enseignement que délivre la nécessité d’ôter le sang de la viande, en l’occurrence l’importance de retirer toute vitalité et toute force à l’âme animale. C’est de cette façon que la viande peut être cachérisée et préparée pour qu’elle se confonde à la chair de l’homme, créé à l’image de D.ieu, Qui est sur le Trône céleste. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
15 Sivan 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Concernant la radio, vous me dites que l’un des élèves de la Yechiva parlera, de temps en temps et que les autres l’écouteront. Vous connaissez l’effort que firent nos saints maîtres pour diffuser les sources de la ‘Hassidout et ce qui en découle, de la manière la plus large. Or, ils attendent de nous que nous en fassions de même.
Si cela est envisageable, il faut donc penser au moyen d’être écouté par les cercles les plus larges et non uniquement par un groupe limité de personnes. Je ne connais pas bien la réglementation, en la matière, dans ce pays. Je n’en dis donc pas plus, mais une recherche appropriée vous permettra d’obtenir toutes les informations nécessaires.
B) Vous envisagez la possibilité d’utiliser les nouveaux fours électriques, sans cachérisation préalable. En effet, il est possible d’en déterminer la température et la pression. On ne peut donc pas leur appliquer l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ nous ne savons pas déterminer avec précision les conditions de la fusion ”, comme l’explique le Pit’heï Techouva, chapitre 18, paragraphe 69.
Cessez donc de raisonner de cette façon. Une telle manière de pratiquer laisse le libre choix à chacun, à chaque femme, de répondre à ses propres questions, de déterminer la température et la pression. Au final, les domestiques non-juifs prendront eux-mêmes la décision, car on leur confie parfois le rôle de cuisiner.
Nous avons déjà pu constater les ravages qui ont découlé de telles permissions, même lorsqu’elles étaient, a priori, conformes au Choul’han Arou’h. Nous n’avons nul besoin de telles contorsions. Nous ne sommes pas des acrobates dans un cirque, mais des émissaires du Saint béni soit-Il, chargés d’éclairer le monde, par la lumière de la Torah et des Mitsvot.
Nous devons donc saler la viande, la rincer avant et après le salage et ne pas oublier l’enseignement que délivre la nécessité d’ôter le sang de la viande, en l’occurrence l’importance de retirer toute vitalité et toute force à l’âme animale. C’est de cette façon que la viande peut être cachérisée et préparée pour qu’elle se confonde à la chair de l’homme, créé à l’image de D.ieu, Qui est sur le Trône céleste. Il est sûrement inutile d’en dire plus.