Lettre n° 2170
Par la grâce de D.ieu,
16 Tamouz 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) J’ai bien reçu votre lettre du 11 Tamouz et je vous en remercie. Dans son second paragraphe, vous proposez de faire cesser complètement les études universitaires de ce jeune homme. Comme vous le savez, différents textes établissent que le fait de briser son prochain dans les domaines permis, c’est-à-dire dans ceux qui le sont pour ce prochain, n’est pas une démarche positive. Bien plus, celui-ci peut pas l’accepter et se trouver ainsi confronté à une épreuve, à la cassure ou bien à un résultat allant à l’opposé de celui qui est souhaité.
Pour ma part, je lui ai demandé d’intensifier son étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Il a compris que j’étais surpris par la longueur de ses études universitaires. De même, je lui ai demandé de s’habituer à commenter la ‘Hassidout en public.
B) A ce propos, je suis étonné que les élèves les plus âgés de la Yechiva aient cessé, depuis quelques temps, de réciter des textes de ‘Hassidout dans les synagogues. Le tort qui résulte de cet abandon est bien évident.
J’ai demandé au jeune homme dont nous parlions auparavant de leur transmettre que tous ceux qui avaient adopté cette pratique doivent la maintenir. Pour qu’ils aient un plus grand intérêt à le faire et s’investissent pleinement en la matière, il serait peut-être bon qu’ils en prennent eux-mêmes l’initiative.
C’est bien ainsi que cela s’est passé ici. Les élèves, de leur propre chef, ont choisi ceux d’entre eux qui se rendent dans les synagogues. Néanmoins, il faut faire attention qu’ils ne s’en aperçoivent pas et donner des instructions en ce sens. Et, le juge ne peut statuer qu’en fonction de ce qu’il voit de ses yeux, à l’endroit où il se trouve.
Avec ma bénédiction de bonne santé, pour vous-même et pour tous les membres de votre famille,
16 Tamouz 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) J’ai bien reçu votre lettre du 11 Tamouz et je vous en remercie. Dans son second paragraphe, vous proposez de faire cesser complètement les études universitaires de ce jeune homme. Comme vous le savez, différents textes établissent que le fait de briser son prochain dans les domaines permis, c’est-à-dire dans ceux qui le sont pour ce prochain, n’est pas une démarche positive. Bien plus, celui-ci peut pas l’accepter et se trouver ainsi confronté à une épreuve, à la cassure ou bien à un résultat allant à l’opposé de celui qui est souhaité.
Pour ma part, je lui ai demandé d’intensifier son étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Il a compris que j’étais surpris par la longueur de ses études universitaires. De même, je lui ai demandé de s’habituer à commenter la ‘Hassidout en public.
B) A ce propos, je suis étonné que les élèves les plus âgés de la Yechiva aient cessé, depuis quelques temps, de réciter des textes de ‘Hassidout dans les synagogues. Le tort qui résulte de cet abandon est bien évident.
J’ai demandé au jeune homme dont nous parlions auparavant de leur transmettre que tous ceux qui avaient adopté cette pratique doivent la maintenir. Pour qu’ils aient un plus grand intérêt à le faire et s’investissent pleinement en la matière, il serait peut-être bon qu’ils en prennent eux-mêmes l’initiative.
C’est bien ainsi que cela s’est passé ici. Les élèves, de leur propre chef, ont choisi ceux d’entre eux qui se rendent dans les synagogues. Néanmoins, il faut faire attention qu’ils ne s’en aperçoivent pas et donner des instructions en ce sens. Et, le juge ne peut statuer qu’en fonction de ce qu’il voit de ses yeux, à l’endroit où il se trouve.
Avec ma bénédiction de bonne santé, pour vous-même et pour tous les membres de votre famille,