Lettre n° 2171
Par la grâce de D.ieu,
20 Tamouz 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu vos lettres avec plaisir. Mais, je désire, avant tout, vous exprimer ma bénédiction de Mazal Tov, pour les fiançailles de votre fille, avec ce jeune homme. Puisse D.ieu faire que ceci soit en un moment bon et fructueux, qu’ils bâtissent ensemble un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont éclairées par le luminaire de la Torah, c’est-à-dire par l’enseignement de la ‘Hassidout.
Votre lettre semble indiquer que le fiancé n’est pas très familier des pratiques de la ‘Hassidout et de ses notions. Sans doute, vous emploierez-vous immédiatement, ainsi que votre fille, à y remédier et à compléter ce qui doit l’être. C’est, en effet, une condition fondamentale pour avoir une vie réellement heureuse, un foyer vif et joyeux.
Vous me préciserez donc ce qui est fait, en la matière, puisque votre lettre semble indiquer, entre les lignes, que rien n’a été envisagé jusqu’à maintenant, alors que vous êtes particulièrement occupé par les préparatifs matériels du mariage. En fait, ceci explique peut-être cela. Le voile imposé aux valeurs morales par la matière est tel que vous en oubliez leur existence.
Or, réfléchissez donc ! Si vous vous consacrez à ce point au mariage et à ses préparatifs, bien qu’il ne dure qu’un jour, si vous acceptez toutes ces dépenses dans le seul but de trouver grâce aux yeux des hommes, combien plus devriez-vous vous préoccuper des préparations spirituelles, qui conditionnent toute l’existence du jeune couple. Il est sûrement inutile d’en dire plus.
20 Tamouz 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu vos lettres avec plaisir. Mais, je désire, avant tout, vous exprimer ma bénédiction de Mazal Tov, pour les fiançailles de votre fille, avec ce jeune homme. Puisse D.ieu faire que ceci soit en un moment bon et fructueux, qu’ils bâtissent ensemble un édifice éternel, basé sur la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont éclairées par le luminaire de la Torah, c’est-à-dire par l’enseignement de la ‘Hassidout.
Votre lettre semble indiquer que le fiancé n’est pas très familier des pratiques de la ‘Hassidout et de ses notions. Sans doute, vous emploierez-vous immédiatement, ainsi que votre fille, à y remédier et à compléter ce qui doit l’être. C’est, en effet, une condition fondamentale pour avoir une vie réellement heureuse, un foyer vif et joyeux.
Vous me préciserez donc ce qui est fait, en la matière, puisque votre lettre semble indiquer, entre les lignes, que rien n’a été envisagé jusqu’à maintenant, alors que vous êtes particulièrement occupé par les préparatifs matériels du mariage. En fait, ceci explique peut-être cela. Le voile imposé aux valeurs morales par la matière est tel que vous en oubliez leur existence.
Or, réfléchissez donc ! Si vous vous consacrez à ce point au mariage et à ses préparatifs, bien qu’il ne dure qu’un jour, si vous acceptez toutes ces dépenses dans le seul but de trouver grâce aux yeux des hommes, combien plus devriez-vous vous préoccuper des préparations spirituelles, qui conditionnent toute l’existence du jeune couple. Il est sûrement inutile d’en dire plus.