Lettre n° 2194
Par la grâce de D.ieu,
7 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Bien que je ne reçoive pas de lettres de vous, je suis content d’avoir, de temps à autre, de vos nouvelles par de bons amis. D.ieu fasse que vous puissiez toujours m’annoncer de bonnes nouvelles vous concernant, matérielles et spirituelles.
J’ai entendu dire que certaines conditions du marché n’évoluent pas comme les commerçants l’auraient souhaité. A n’en pas douter, il faut voir là une épreuve que D.ieu envoie aux Juifs. Certes, Il sait qu’un cœur juif est toujours en éveil, désireux d’accomplir la Torah et les Mitsvot. Néanmoins, Il doit en convaincre les anges du Tribunal céleste, lesquels refusent de le croire.
Lorsqu’un Juif surmonte l’épreuve, D.ieu leur dit donc: “ Voyez! Le mauvais penchant aurait pu convaincre ce Juif de donner moins de Tsédaka, car ses affaires ne sont plus ce qu’elles ont été. Mais, les Juifs sont avisés et ils comprennent qu’on veut, de la sorte, les éprouver ”.
Lorsqu’ils surmontent l’épreuve et en comprennent le sens, les Juifs retrouvent les affaires qu’ils faisaient auparavant. Bien plus, celles-ci s’améliorent. En effet, un père est satisfait lorsque son fils sait déchiffrer la signification profonde de ses actions. Plus le fils fait la preuve de sa sagesse et plus les cadeaux qu’il reçoit de son père sont importants.
Les commerçants disent que l’on gagne de l’habileté, avec l’âge. Vous êtes vous-même commerçant depuis bien longtemps et vous saurez donc décrypter le message de D.ieu, dans la situation précédemment décrite. Dans un bon investissement, qu’il s’agisse d’un hôtel ou d’une affaire commerciale, la part de D.ieu ne doit pas être diminuée. Bien plus, il faut donner largement, sur Son compte. Dès lors, Il réalise la promesse qu’Il énonce dans la Torah: “ Prélève la dîme afin de t’enrichir ” et accorde à Son associé des revenus bien plus larges qu’auparavant.
J’espère que votre état de santé s’est amélioré, depuis votre dernière visite à New York et que vous pourrez m’annoncer de bonnes nouvelles également à propos de votre sœur.
Avec ma bénédiction,
7 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Bien que je ne reçoive pas de lettres de vous, je suis content d’avoir, de temps à autre, de vos nouvelles par de bons amis. D.ieu fasse que vous puissiez toujours m’annoncer de bonnes nouvelles vous concernant, matérielles et spirituelles.
J’ai entendu dire que certaines conditions du marché n’évoluent pas comme les commerçants l’auraient souhaité. A n’en pas douter, il faut voir là une épreuve que D.ieu envoie aux Juifs. Certes, Il sait qu’un cœur juif est toujours en éveil, désireux d’accomplir la Torah et les Mitsvot. Néanmoins, Il doit en convaincre les anges du Tribunal céleste, lesquels refusent de le croire.
Lorsqu’un Juif surmonte l’épreuve, D.ieu leur dit donc: “ Voyez! Le mauvais penchant aurait pu convaincre ce Juif de donner moins de Tsédaka, car ses affaires ne sont plus ce qu’elles ont été. Mais, les Juifs sont avisés et ils comprennent qu’on veut, de la sorte, les éprouver ”.
Lorsqu’ils surmontent l’épreuve et en comprennent le sens, les Juifs retrouvent les affaires qu’ils faisaient auparavant. Bien plus, celles-ci s’améliorent. En effet, un père est satisfait lorsque son fils sait déchiffrer la signification profonde de ses actions. Plus le fils fait la preuve de sa sagesse et plus les cadeaux qu’il reçoit de son père sont importants.
Les commerçants disent que l’on gagne de l’habileté, avec l’âge. Vous êtes vous-même commerçant depuis bien longtemps et vous saurez donc décrypter le message de D.ieu, dans la situation précédemment décrite. Dans un bon investissement, qu’il s’agisse d’un hôtel ou d’une affaire commerciale, la part de D.ieu ne doit pas être diminuée. Bien plus, il faut donner largement, sur Son compte. Dès lors, Il réalise la promesse qu’Il énonce dans la Torah: “ Prélève la dîme afin de t’enrichir ” et accorde à Son associé des revenus bien plus larges qu’auparavant.
J’espère que votre état de santé s’est amélioré, depuis votre dernière visite à New York et que vous pourrez m’annoncer de bonnes nouvelles également à propos de votre sœur.
Avec ma bénédiction,