Lettre n° 2196
Par la grâce de D.ieu,
10 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre, me demandant une bénédiction pour votre père, qui a un différend à propos d’un héritage(1). Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai son nom, afin qu’il assure sa subsistance dans la largesse.
Je suis surpris que vous ne me donniez pas le nom de votre père et celui de sa mère. Vous le ferez à la prochaine occasion. Je suis également étonné que vous n’évoquiez pas votre étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Nos Sages disent que le fils confère un mérite à son père Or, vous désirez qu’il connaisse la réussite, dans cette affaire(2), de même que dans les autres domaines. C’est pour cela que vous m’écrivez. Combien plus devez-vous faire vous-même des efforts, dans ce domaine.
Pour cela, vous devez progresser dans les trois domaines qui sont les piliers sur lesquels reposent le monde, en général et le “ petit monde ” que constitue l’homme, c’est-à-dire la Torah, le service de D.ieu, correspondant à la prière et les bonnes actions, soient les comportements vertueux.
Plus précisément, il s’agit, en l’occurrence, d’un héritage et vos efforts doivent donc porter sur ce que nous disons quotidiennement, dans la prière : “ Comme est beau notre héritage ”. Vous savez sans doute que cette expression fait allusion à la foi, à l’amour de D.ieu, enfoui en chacun et qui inclut également la crainte. C’est là ce que nos ancêtres nous ont légué, comme l’explique longuement le Tanya.
Que D.ieu vous accorde la réussite, qu’Il vous renforce et vous permette de redoubler d’ardeur, dans votre service de D.ieu au quotidien, pour tout ce qui concerne l’amour de votre prochain, l’amour de la Torah et l’amour de D.ieu, béni soit-Il.
Notes
(1) Avec les autres héritiers.
(2) Dans l’héritage.
10 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre, me demandant une bénédiction pour votre père, qui a un différend à propos d’un héritage(1). Lorsque je me trouverai près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, dont le mérite nous protégera, je mentionnerai son nom, afin qu’il assure sa subsistance dans la largesse.
Je suis surpris que vous ne me donniez pas le nom de votre père et celui de sa mère. Vous le ferez à la prochaine occasion. Je suis également étonné que vous n’évoquiez pas votre étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout. Nos Sages disent que le fils confère un mérite à son père Or, vous désirez qu’il connaisse la réussite, dans cette affaire(2), de même que dans les autres domaines. C’est pour cela que vous m’écrivez. Combien plus devez-vous faire vous-même des efforts, dans ce domaine.
Pour cela, vous devez progresser dans les trois domaines qui sont les piliers sur lesquels reposent le monde, en général et le “ petit monde ” que constitue l’homme, c’est-à-dire la Torah, le service de D.ieu, correspondant à la prière et les bonnes actions, soient les comportements vertueux.
Plus précisément, il s’agit, en l’occurrence, d’un héritage et vos efforts doivent donc porter sur ce que nous disons quotidiennement, dans la prière : “ Comme est beau notre héritage ”. Vous savez sans doute que cette expression fait allusion à la foi, à l’amour de D.ieu, enfoui en chacun et qui inclut également la crainte. C’est là ce que nos ancêtres nous ont légué, comme l’explique longuement le Tanya.
Que D.ieu vous accorde la réussite, qu’Il vous renforce et vous permette de redoubler d’ardeur, dans votre service de D.ieu au quotidien, pour tout ce qui concerne l’amour de votre prochain, l’amour de la Torah et l’amour de D.ieu, béni soit-Il.
Notes
(1) Avec les autres héritiers.
(2) Dans l’héritage.