Lettre n° 2205
Par la grâce de D.ieu,
23 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je vous écris pour vous dire que le fait de laisser les élèves rentrer chez eux pour toute la durée du mois de Tichri va à l’encontre de la logique et d’une éducation basée sur la crainte de D.ieu. Car, si celle-ci est nécessaire toute l’année, il n’est cependant pas de meilleur moment, de temps plus propice pour la réaliser qu’en cette période des Seli’hot, en ces jours redoutables.
S’il n’est pas possible de modifier cet usage, il faut, à tout le moins, apporter un support moral à ces élèves, pour eux-mêmes comme pour les endroits dans lesquels il se rendent. Si les plus grands d’entre eux peuvent être retenus à la Yechiva, au moins pour Roch Hachana, les dix jours de Techouva et le Jour sacré, il faudra se servir de cette période pour les rapprocher des coutumes et des pratiques ‘hassidiques.
Certes, il ne faut pas modifier les usages positifs qu’ils respectent depuis plusieurs générations. Pour autant, il faut leur faire connaître certaines coutumes ‘Habad, afin qu’ils les adoptent, sans pour autant remettre en cause celles des Sefardim.
23 Mena’hem Av 5713,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je vous écris pour vous dire que le fait de laisser les élèves rentrer chez eux pour toute la durée du mois de Tichri va à l’encontre de la logique et d’une éducation basée sur la crainte de D.ieu. Car, si celle-ci est nécessaire toute l’année, il n’est cependant pas de meilleur moment, de temps plus propice pour la réaliser qu’en cette période des Seli’hot, en ces jours redoutables.
S’il n’est pas possible de modifier cet usage, il faut, à tout le moins, apporter un support moral à ces élèves, pour eux-mêmes comme pour les endroits dans lesquels il se rendent. Si les plus grands d’entre eux peuvent être retenus à la Yechiva, au moins pour Roch Hachana, les dix jours de Techouva et le Jour sacré, il faudra se servir de cette période pour les rapprocher des coutumes et des pratiques ‘hassidiques.
Certes, il ne faut pas modifier les usages positifs qu’ils respectent depuis plusieurs générations. Pour autant, il faut leur faire connaître certaines coutumes ‘Habad, afin qu’ils les adoptent, sans pour autant remettre en cause celles des Sefardim.