Lettre n° 2264
Par la grâce de D.ieu,
13 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir les quelques lignes que vous m’avez écrites, le 12 Mar’hechvan, avec ce qui y était joint, l’article intitulé “ étincelles de ‘Habad ”. Je vous remercie beaucoup pour cette attention.
Sans doute, avant de m’envoyer cet article, l’avez-vous examiné avec toute l’attention nécessaire. J’espère que ces étincelles ont rejoint la lueur qui se trouve au fond de votre âme, afin de vous permettre de multiplier vos accomplissements, au quotidien, dans le sens requis par l’enseignement de ‘Habad.
Telle est, en effet, la finalité de l’homme juif, qui doit se sanctifier pour D.ieu, appartient à une “ nation de prêtres ”, non seulement quand il prie ou étudie la Torah, mais également lorsqu’il marche dans la rue, mange ou boit, comme l’écrit le Rambam, au cinquième chapitre de ses lois des opinions.
Avec mes respects et ma bénédiction,
13 Mar’hechvan 5714,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir les quelques lignes que vous m’avez écrites, le 12 Mar’hechvan, avec ce qui y était joint, l’article intitulé “ étincelles de ‘Habad ”. Je vous remercie beaucoup pour cette attention.
Sans doute, avant de m’envoyer cet article, l’avez-vous examiné avec toute l’attention nécessaire. J’espère que ces étincelles ont rejoint la lueur qui se trouve au fond de votre âme, afin de vous permettre de multiplier vos accomplissements, au quotidien, dans le sens requis par l’enseignement de ‘Habad.
Telle est, en effet, la finalité de l’homme juif, qui doit se sanctifier pour D.ieu, appartient à une “ nation de prêtres ”, non seulement quand il prie ou étudie la Torah, mais également lorsqu’il marche dans la rue, mange ou boit, comme l’écrit le Rambam, au cinquième chapitre de ses lois des opinions.
Avec mes respects et ma bénédiction,